Un plombier de 26 ans soupçonné d'avoir violé en novembre 2017 à Rambouillet une jeune fille de 13 ans souffrant de dyslexie, comparait ce jeudi devant la cour d'assises des Yvelines.
Hommage à Jean Mabire par Pierre Vial
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Débat sur l'immigration avec Jean-Yves Le Gallou
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CICÉRON : les dieux existent !
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Que peut-il y avoir de si manifeste et de si évident, quand nous avons levé les yeux au ciel et contemplé les corps célestes, que le fait qu’il y a une divinité d’un esprit très remarquable qui les dirige ?
Celui qui en douterait, je ne comprends vraiment pas pourquoi il ne pourrait pas également douter si le soleil existe ou s'il n'existe pas. En quoi en effet cette affirmation est-elle plus évidente que la première?
Si nous n'en avions en nous la connaissance et la perception, la croyance (en dieu) ne demeurerait pas si ferme, ne serait pas confortée avec le temps et elle n'aurait pas pu s’incruster avec les siècles et les générations humaines. En effet nous voyons que les autres croyances inventées et fausses ont disparu avec le temps. Qui, en effet, pense qu’il y a eu un hippocentaure ou une Chimère ? Le temps détruit les croyances fictives et confirme les jugements de la nature.
C’est pourquoi, chez notre peuple et chez les autres, le culte des dieux et les pratiques sacrées augmentent et s'améliorent de jour en jour. Cela se fait non par fantaisie ni par hasard mais parce que les dieux manifestent souvent leur présence.
De natura deorum, II, 2.
Les épis mûrs et les blés moissonnés - J. MABIRE
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Qu'est-ce que j'avais senti, quand on avait déclaré la guerre ? La libération de la caserne, la fin des vieilles lois, l'apparition de possibilités pour moi, pour la vie, pour de nouvelles lois, toutes jeunes, délurées, surprenantes. C'était si beau que ça m'avait paru improbable.
DRIEU LA ROCHELLE.
Nos enfances sont bercées de légendes. Ceux qui ont aujourd'hui entre trente-cinq et quarante-cinq ans n'oublieront jamais ces récits qui prolongeaient La Chanson de Roland en une épopée familiale. Grâce à nos pères l'Hartmannswillerkopf s'appelait désormais le Vieil-Armand. La Grande Guerre s'étirait interminablement comme ces collections de L'Illustration gainées de cuir rouge et laurées d'or fin. Quelques soldats à l'exercice portaient encore des capotes de cette grisaille bleu-horizon qui nous semblait la couleur même de la France. La Victoire se prolongeait tant bien que mal.
Mais déjà les pantalons rouges et les taxis de la Marne étaient rejetés dans le XIXe siècle. Nous savions qu'un monde avait commencé à Verdun. Très vite notre jeunesse était prise dans un tourbillon qui ne nous laissait plus le temps de songer à ces batailles d'une guerre démodée. Les survivants de Dunkerque nous forçaient à oublier les disparus de Charleroi. Nous n'arrivions plus à croire qu'ils avaient été jeunes, eux aussi.
Les longues heures d'attente de la dernière guerre coloniale, les remous trompeurs ou les loisirs forcés nous donnèrent bien vite quelque curiosité pour ces aînés qui avaient eu vingt ans il y a un demi-siècle. Quelques camarades morts sur des pitons aux noms inconnus nous rendirent plus présents de jeunes guerriers qui nous quittèrent à leur âge, laissant des livres que nous ouvrons aujourd'hui avec des mains fiévreuses et impatientes. Nous sommes peut-être les seuls à les lire. Nous sommes sans doute les seuls à les aimer.
Certains romans ou certaines enquêtes tranchent brutalement sur l'optimisme d'une époque comme ces lueurs qui annoncent la montée des orages au soir d'une belle et lourde journée.
C'est en 1913 que Roger Martin du Gard fait paraître Jean Barois, adieu assez désenchanté aux grandes idées qui avaient agité une jeunesse dont la générosité et l'enthousiasme firent la noblesse du socialisme français. Il est bien curieux cet entretien, sur la fin du livre, entre Jean Barois, libre-penseur vieillissant, et ces jeunes gens qui viennent de découvrir un nouvel idéal : le nationalisme, Jean Barois retrouve chez eux cet élan et cette foi qui furent les siens au moment de l'Affaire Dreyfus…
1913 c'est aussi l'année où Alfred de Tarde et Henri Massis publient, sous le pseudonyme d'Agathon, leur Enquête sur les jeunes gens d'aujourd'hui qui se voulait le manifeste d'une nouvelle génération. Cette jeunesse orgueilleuse et passionnée effrayait fort ses aînés parce qu'elle mélangeait hardiment ce qu'il convenait jusqu'ici de maintenir strictement inconciliable pour le plus grand confort des nantis et le plus grand profit des filous. Les jeunes gens de la classe 13 étaient en train de s'apercevoir que le socialisme et le nationalisme de leurs parents n'étaient pas si irréductiblement opposés qu'on le professait en Sorbonne ou au Parlement.
Dans les « Cercles Proudhon » et ailleurs, ils battaient ferme les cartes politiques et les redistribuaient à leur manière. Dans ce grand jeu qu'ils inventaient ingénument les couleurs n'avaient plus la même signification. Mieux encore, elles devenaient complémentaires. Le rouge du socialisme et le noir de l'anarchie se mariaient assez bien avec un champ immaculé fleuri de lys insolites.
Ces jeunes gens n'avaient pas trouvé tous seuls cette nouvelle manière de renverser les alliances et de bousculer les principes. Les jeunes gens ne trouvent jamais rien tous seuls. Mais les remueurs d'idées ne peuvent rien non plus sans des jeunes gens remuants...
Trois hommes surtout enseignèrent le non-conformisme à la jeunesse d'alors et on ne peut parler de la génération de la première guerre mondiale sans les évoquer.
Le plus vieux était le plus solitaire. Il se nommait Georges Sorel, avait près de soixante-dix ans et se voulait simplement « un serviteur désintéressé du prolétariat ». Il vomissait la démocratie parlementaire et rêvait d'un syndicalisme révolutionnaire assez semblable à quelque ordre de chevalerie dont il avait écrit, sous le titre de Réflexions sur la violence, la Bible illisible et magnifique.
Maurice Barrés, lui, portait vigoureusement une cinquantaine tumultueuse et cultivait un titre de « prince de la jeunesse » qu'il espérait bien prolonger jusqu'à cette Revanche, grande ambition des jeunes héros des Déracinés. Celui qui avait écrit les Romans de l'Energie Nationale n'oubliait pas qu'il s'était proclamé, dans son programme électoral de Nancy, en 1898, « nationaliste et socialiste » tout ensemble, et surveillait d'un œil impavide les cabrioles de ses jeunes poulains marseillais, Charles Maurras et Léon Daudet, dont L'Action Française tenait à la fois de la croisade et de la galéjade.
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Coronavirus: trois médecins portent plainte contre Jérôme Salomon
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Une plainte va être adressée au parquet de Paris. Elle est déposée par trois médecins qui reprochent au directeur général de la Santé Jérôme Salomon des manquements dans la gestion de la crise sanitaire.
Le gouvernement a-t-il failli dans sa préparation pour gérer l'épidémie de coronavirus? Depuis quelques jours, les plaintes contre les membres de l'exécutif se succèdent. Après une première assignation d'Edouard Philippe et Agnès Buzyn devant la Cour de justice de la République par un collectif de soignants, c'est au tour de Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, d'être visé. Une plainte va être déposée contre lui, auprès du parquet de Paris, a appris BFMTV ce jeudi.
Deuxième plainte d'un même collectif de soignants
Trois médecins, représentants le même collectif de 600 praticiens, réclament l'ouverture d'une enquête judiciaire afin de déterminer s'il existe des défaillances dans la gestion de la crise sanitaire au niveau de la direction générale de la Santé.
Leur avocat, Me Fabrice Di Vizio, a rédigé leur plainte en se basant sur l'article 223-7 du Code pénal qui dispose que "quiconque s'abstient volontairement de prendre les mesures permettant (...) de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d’amende".
Or, il apparaît selon les plaignants que Jérôme Salomon "avait une pleine conscience du péril auquel la France était confrontée" et qu'il s'est "abstenu de prendre les mesures qui auraient été de nature à endiguer l’épidémie". Ils lui reprochent notamment l'arrivée trop tardive des mesures des précaution, qu'ils jugent par ailleurs "insuffisantes".
Selon les plaignants, des mesures plus strictes auraient dû être prises "avant le 13 mars 2020", ce qui "aurait sans nul doute permis de juguler l’épidémie en réduisant le nombre de personnes contaminées, et donc de personnes susceptibles de contaminer les autres", est-il indiqué dans la plainte que BFMTV a pu consulter.
Manque de précautions
Ils critiquent également la gestion des stocks de masques et les failles dans leur distribution aux professionnels de santé. Il s'agit d'une précaution "qu’auraient dû prendre les responsables politiques, mais dont ils se sont abstenus". Ils assurent qu'à la fin du mois de février, malgré le déblocage de 15 millions de masques, les médecins libéraux "n’ont constaté la livraison d’aucun de ces 15 millions de masques".
"Pourtant, il appartenait bien à la direction générale de la Santé d’évaluer les besoins des professionnels de santé mais aussi de prendre sérieusement la mesure de la crise sanitaire et d’anticiper les mesures adaptées. Ce qu’elle n’a manifestement pas fait", précise la plainte.
Alors que la vague épidémique monte en France, les oppositions instruisent à mots choisis le procès de l'exécutif. Pénurie de masques, manque de tests de dépistage et manque de moyens pour les hôpitaux... Ces trois médecins ne sont pas les seuls à mettre en doute la réactivité du gouvernement face à la crise sanitaire que traverse le pays. Plusieurs associations et députés ont également fait connaître leur volonté de déposer plainte et d'ouvrir des commissions d'enquête.
La Ministre MURIEL PÉNICAUD toujours aussi incompétente (vidéo)
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Coronavirus : huit opérateurs européens, dont Orange, vont fournir les données de localisation de leurs clients
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TRAÇAGE - La Commission européenne a demandé aux principaux opérateurs télécoms européens de partager les données de localisation de leurs abonnés recueillies grâce aux téléphones portables. En France, Orange, leader sur le marché avec 34 millions d'abonnés mobile, a été choisi.
Orange, Vodafone, Deutsche Telekom et cinq autres opérateurs télécoms ont accepté de partager avec la Commission européenne les données de localisation de leurs clients. Le but : vérifier si les consignes de confinement sont appliquées et suivre la propagation la pandémie de coronavirus. La demande avait été formulée en début de semaine par Thierry Breton, le commissaire européen au marché intérieur et au numérique, directement auprès de la GSMA Association, qui regroupe 750 acteurs du secteur de la téléphonie mobile dans le monde.
En France, l'opérateur Orange, leader sur le marché avec 34 millions d'abonnés mobiles, avait indiqué dès la semaine dernière qu'il travaillait d'ores et déjà avec les chercheurs de l'Institut français de la recherche médicale (Inserm). Les données de géolocalisation fournies par l'opérateur aux scientifiques a permis d'évaluer les variations de population "avant confinement" et "après confinement". C'est ainsi que les autorités sanitaires ont pu établir que 17% des Parisiens auraient quitté la ville à ce moment, comme l'avait révélé l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).
L'exploitation de ces données va surtout permettre aux autorités sanitaires européennes d'améliorer les estimations prévisionnelles épidémiologiques par zone pour "adapter en temps réel le système de soin". Mais aussi "d'estimer les mobilités par zone pour vérifier l'effectivité des mesures de confinement". Invité de la matinale d’Europe 1 ce jeudi, Stéphane Richard a tenu à rassurer ses clients mobiles. "Il n'y a pas de traçage individuel (...) Nous ne transmettons pas vos photos, vos contacts... Uniquement votre géolocalisation. Et ce sont des données agrégées et anonymisées", a assuré le PDG d’Orange. En effet, rien ne nous identifie en tant qu'individu dans ces données. Il s'agit, en réalité, d'un nuage de points qui se déplace sur une carte. En outre, elles seront toutes détruites une fois la crise sanitaire surmontée, assure de son côté la Commission européenne.
L'exploitation de données nom nominatives et compilées à des fins notamment de cartographie de la population, est autorisée par la réglementation européenne, avait rappelé lundi Andrea Jelinek, le président du comité européen de la protection des données personnelles (EDPB), qui fédère les gendarmes du numérique (comme la Cnil, en France). En revanche, lorsqu'il est nécessaire d'avoir recours à des données non anonymisées sans consentement, les Etats membres doivent mettre en place une législation spéciale, motivée par la "sécurité nationale" et la "sécurité publique", avait alors souligné l'EDPB. Officiellement, aucun projet de ce type n'est sur la table en France.
L'utilisation des données de géolocalisation dans la lutte contre la pandémie est déjà en oeuvre en Corée du Sud, en Russie ou encore en Israël. Au grand dam de ses détracteurs qui dénoncent une atteinte aux libertés individuelles. Pour éviter "tout malentendu", la Commission européenne devra clairement définir l'ensemble de données qu'elle souhaite obtenir et assurer la transparence vis-à-vis du public, recommande quant à lui le Contrôleur européen de la protection des données (EDPS), dans une lettre à l'exécutif européen que l'agence Reuters a pu consulter. "Il serait également préférable de limiter l'accès à ces données à des experts autorisés en épidémiologie spatiale, en protection des données et en données scientifiques", écrit-il, insistant sur le fait "qu'une telle solution doit être considérée comme extraordinaire".
LCI 26 mars 2020
I-Média n°278 – Noël, 31… Les médias veulent gâcher la fête !
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23 Mars, Tubilustrium, début de la saison guerrière chez les romains.
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Chez les Romains le 23 Mars marquait le début de la saison guerrière, c'était l’occasion d'une cérémonie de préparation de l'armée au combat sous le patronage de la déesse Minerve et du dieu Mars.
Pour nous c'est l'occasion d'une pensée pour nos soldats engagés en Opération Extérieur, et plus particulièrement au Sahel, haut lieu de transit des trafics destinés à submerger et subvertir la forteresse Europe. C'est aussi l’occasion d’une pensée pour tout le personnel médical engagé dans une rude course de vitesse contre une épidémie qui place, de fait, notre économie en état de guerre.
Deux présidents se sont succédés pour nous dire que nous étions en guerre, l'un parlait du terrorisme islamique, l'autre du covid19. Dans les deux cas c’était loin d'être une évidence puisque, selon l'acception populaire, nous aurions dû constater un combat spectaculaire, des victimes en grand nombre, un adversaire identifiable à son uniforme et à ses claires intentions, des soldats mobilisés aux actions bien visibles, enfin, le développement d'une stratégie de défense explicite.
A proprement parler est-on réellement en guerre ? Depuis que le conflit armé s'est éloigné de notre sol (75 ans déjà !) nous vivons une période de paix extraordinaire dans l'histoire par sa longévité.
A l'exception du terrorisme, qui, en termes statistiques, a un impact mortel limité sur la population, nous nous sommes habitués à ne pas devoir nous défendre collectivement, nous avons désappris à voir les menaces et désappris à les neutraliser.
Nous avons considéré qu'en ne désignant pas d'ennemis nous ne pourrions pas nous en faire.
Nous avons également considéré qu'en déléguant notre capacité de défense à l'état nous n'aurions plus à faire usage de la violence.
Nous avons oublié le goût du combat.
Et pourtant ? Ne sommes-nous pas de nouveau en guerre ?
La guerre peut prendre bien des aspects, et dans sa manifestation la plus moderne, appelée guerre de 4ème génération, on distingue les caractéristiques suivantes :
- Complexe et menée sur le long terme ;
- Implique le terrorisme (guerre asymétrique) comme élément tactique ;
- Base transnationale ou non-nationale, hautement décentralisée ;
- Attaque directement la culture de l'ennemi, en incluant des actes génocidaires contre des civils ; (NDLR : dans notre cas à défaut de génocide on se contente d'un remplacement de population ou de massacres ponctuels)
- Guerre psychologique et de subversion élaborées, spécialement à travers la manipulation des médias et l'utilisation de moyens de droit légal; (le droit est nécessairement légal)
- Tous les moyens de pression sont utilisés : Politiques, économiques, sociaux et militaires ;
- Se déroule avec des conflits de basse intensité, inclut des acteurs de tous les réseaux et milieux ;
- Les non-combattants sont des dilemmes tactiques ;
- Non-hiérarchisée ;
- Groupes actifs de taille réduite, large réseau de communication et de soutien financier
- Utilisation de techniques d'insurrection et de guérilla.
(citation Wikipedia d'un concept développé par l'armée américaine dès 1989).
Deux conflits s'appliquent à cette définition sur notre territoire :
La guerre menée par l'Islam conquérant contre les autochtones (avec pour objectif leur submersion, conversion et soumission),
La guerre menée par les élites mondialistes pour remodeler le peuple (avec pour objectif de transformer le citoyen en individu asexué, individualiste, matérialiste et acculturé ; en somme du bétail malléable à souhait),
Il est important dans le second cas de bien comprendre que ces élites ont autant d'attachement à la nationalité française que les Islamistes français de papier, et bien souvent leur attachement à la sainte République n'est que le masque de leur absence d'attachement à la nation.
Dans ce second cas toujours, le terrorisme n'est évidemment pas constitué d'actes sanglants comme dans le premier : la position dominante induit de ne pas se laisser aller à une trop grande violence génératrice de révolte en retour. Cependant, on a bien vu dans les crises récentes que ces grands humanistes savent faire usage de violence de masse pour intimider toute opposition réelle.
Nous sommes donc depuis longtemps dans en état de guerre, mais une guerre invisible, inaudible, dont les victimes sont les citoyens autochtones, auxquels on veut arracher leur mode de vie, leur histoire, leur liberté d'expression, de pensée même, que l'on veut réduire à une forme d'esclavage confortable, en espérant qu'ils sombrent dans une profonde léthargie d'où ils ne se réveilleraient qu'en minorité, incapables de défendre leur existence par leur nombre et leur intelligence.
Alors en ce 23 Mars, début de la saison guerrière chez nos voisins transalpins, pensez à ce que vous pouvez faire pour mener le combat dans ce sourd conflit.
De quels talents disposez-vous pour alimenter en génie l'armée des citoyens résistants ?
Pouvez-vous produire des écrits dissidents, des réflexions, des poèmes ? Des documents audio ou vidéo ? Pouvez-vous enseigner vos connaissances et compétences singulières à vos camarades ? Pouvez-vous vous engager politiquement ou syndicalement ? Pouvez-vous organiser des marches, des fêtes, des banquets communautaires ?
Que savez-vous faire ? Qu'aimez-vous faire ? Que pouvez-vous faire pour vous engager dans notre combat contre les envahisseurs et les mondialistes ?
Puisqu'il n'est pas encore temps d'avancer sabre au clair, défendez votre culture !
Alexis
« Notre monde ne sera pas sauvé par des savants aveugles ou érudits blasés. Il sera sauvé par des poètes et des combattants, par ceux qui auront forgé « l’épée magique » dont parlait Ernst Jünger, l’épée spirituelle qui fait pâlir les monstres et les tyrans. Notre monde sera sauvé par les veilleurs postées aux frontières du royaume et du temps »
Dominique Venner
Rambouillet : le plombier Pakistanais soupçonné d’avoir violé une ado de 13 ans devant la justice
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Cet homme de 26 ans comparaît ce jeudi devant la cour d’assises de Versailles. Il est accusé du viol d’une une jeune fille de 13 ans, en novembre 2017, à Rambouillet, lors d’une intervention.
Ce 20 novembre, il est 17 h 30 lorsque le petit ami de la sœur de la victime prévient la police. Il explique aux fonctionnaires qu'une jeune fille de 13 ans vient d'être violée et qu'il tient l'agresseur dans le bureau de l'entreprise qui employait un sous-traitant pour intervenir sur l'évacuation des sanitaires. Les policiers se déplacent dans les locaux de la société de Rambouillet et arrêtent l'ouvrier suspect qui vient d'intervenir au domicile de l'adolescente.
Les empreintes génétiques sont celles du suspect
Cette enfant qui accuse un léger retard scolaire raconte qu'elle est rentrée du collège en milieu d'après-midi. Un ouvrier barbu et aux cheveux longs lui a demandé de venir voir le résultat des travaux dans les toilettes avant de verrouiller la porte et de commencer à la déshabiller. Il lui a fait subir des attouchements et l'a violée dans le salon. Avant de partir, son agresseur lui a donné un billet de 20 euros et deux pièces d'un euro.
Lors de ses différents récits, l'adolescente en état de choc a eu du mal à verbaliser cette expérience. L'expertise médicale n'avait révélé aucune lésion, mais le médecin avait estimé que les déclarations de la victime étaient crédibles et en accord avec ses constatations sur le corps de la jeune fille. Les résultats du laboratoire confirmeront que les prélèvements d'empreinte génétique correspondaient bien à l'identité du suspect. La victime souffre encore aujourd'hui d'un stress post-traumatique qui se manifeste par des angoisses.
Déjà impliqué dans une affaire d'agression sexuelle en 2010
Arrivé du Pakistan à l'âge de 16 ans, le suspect, lui, ne parle pas le français. Il a un temps travaillé dans la restauration avant de trouver cet emploi de plombier. Il a d'abord expliqué n'avoir jamais eu de rapports sexuels de sa vie car sa culture les proscrit hors de liens du mariage.
L'homme a déjà été soupçonné d'avoir commis deux agressions sexuelles en 2010 à Argenteuil (Val-d'Oise) sur deux femmes qu'il avait suivies dans la rue alors qu'il était âgé de 16 ans. Mais il a été relaxé six ans plus tard par le tribunal pour enfants.
Interrogé par la police sur l'affaire de Rambouillet, le plombier a donc nié en bloc dans un premier temps, avant d'adopter la ligne de défense qu'il maintiendra durant toute l'instruction. Il avoue avoir eu un rapport sexuel avec la victime mais soutien que c'est elle qui l'a « aguiché » puis qui lui a demandé de l'argent, affirmant qu'elle l'aurait même « remercié ». « Nous sommes jeunes et en vie, il n'y a pas de mal à ça », a-t-il même déclaré lors d'une de ses auditions. Le verdict est attendu ce vendredi soir. Le procès devrait se tenir à huis-clos, à la demande de la partie civile.
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