Non, Lucien, nous ne voulons pas des Français de branche !
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Je viens de terminer l'article de Lucien Cerise sur l'effondrement contrôlé des sociétés hyper-complexes paru dans l'avant dernier numéro de la revue Rébellion. Je ne suis pas du tout d'accord avec sa critique du repli communautaire : sur le court et moyen terme, j'estime que c'est notre seule chance de survie. De plus, nous réclamons le droit de vouloir vivre avec qui l’on veut ! Oui, nous voulons être qu’entre Blancs. Si nous combattons le multiculturalisme et le multiracialisme, ce n’est pas pour accepter ces brassages ethnoculturels.
L’auteur dénigre fortement les régions. Non, la nation n'est pas la seule organisation politique possible ! Certaines régions européennes sont bien plus puissantes (économiquement, culturellement, etc.) que certains états dans le monde ! Et je préfère mille fois plus une petite région à fort enracinement identitaire qu’une plus grande nation constituée de communautés antagonistes !
Tel un jacobin (qu'il se défend d'être), il nous assène ensuite que [...] « les séparatistes, qu'ils agissent à découvert ou dans l'ombre, sont les ennemis mortels de tous les peuples et de toutes les nations » (sic!). Les Irlandais et les Ecossais, par exemple, sont-ils des ennemis des peuples et des nations ??
Je reste très perplexe quant à sa notion de « mipster ». Pour Lucien Cerise, la société avancerait vers un mélange de « muslim » et de « hipster » plutôt que vers l'imposition de la charia. Nous savons très bien que l'islam (et sa cause l'immigration) est favorisé pour détruire nos identités. Certes, le but final de ceux qui sont aux manettes n’est peut-être finalement pas que le pays finisse sous le règne de la charia mais plutôt dans un gloubi-boulga multiculturel et multiracial, certainement pour faire de nous de simples consommateurs. Mais n'oublions pas que même si certaines élites ou Etats (Oncle Sam, pourquoi tu tousses ?) se servent ou créent des structures qui sont soi-disant leurs ennemis mortels, il se peut que leur Golem leur échappe des mains. Ne peut-on pas envisager une seconde que tout cela finisse par se retourner contre eux ? Rien n’est écrit d'avance, tout peut arriver ! Croire, comme il le fait dans son article, que tous les musulmans vont finir « branchés » et « prier Lady Gaga » (sic), c'est, je pense, faire preuve de beaucoup de naïveté. Comme penser à l'inverse que tous les musulmans sont des fanatiques radicaux qui ne demandent qu'à nous tuer ! Ceci sera certainement l’objet d’un prochain article : l'islam et les musulmans, ces soi-disant remparts contre le monde moderne et la société de consommation.
Par contre je le rejoins totalement sur le fait que tout identitaire se doit d'être anticapitaliste. Je ne changerai pas un mot sur la critique du libéralisme économique, créateur de déracinement et destructeur des identités.
Autre point de divergence et non des moindres : Lucien Cerise nous affirme que « quiconque soutient la thèse identitaire ethniciste ou racialiste doit aussi comprendre qu'il perd son temps à lire ces lignes, et à lire quoi que ce soit, d'ailleurs (sic). En effet, le militantisme racialiste ne se mène pas dans le champ intellectuel, sémantique et langagier : il se mène uniquement dans les chambres à coucher, en trouvant une femme ou un homme de son groupe ethnique pour la féconder ou être fécondée par lui, et donner naissance à des enfants du même groupe ethnique. Il n'y a rien de plus à faire dans le cadre du militantisme racialiste. »
Il continue plus loin : « donc si vous êtes ethniciste, faites des bébés, un maximum de bébés, point à la ligne ! »
Outre son arrogance flagrante, de quel droit se permet-il de nous dire ce que l'on peut lire ou non et ce que l’on doit faire ?
Dans un contexte où le capitalisme est en train de gagner justement, il serait plutôt judicieux à tous ceux qui combattent le mondialisme de s'allier et d'éviter de se tirer dans les pattes en dénigrant ce que font les uns et les autres. Sinon, à qui profite le crime ?
Nous comprendrons mieux plus loin pourquoi Lucien Cerise exprime sa détestation des racialistes…
Vu que Lucien Cerise nous conseille de ne « lire quoi que ce soit » (cela l’arrangerait que nous soyons tous de gros bêtas!), nous lui demandons de ne plus utiliser le mot « identitaire ». Car si on ne peut être identitaire sans être anticapitaliste, on ne peut être également identitaire sans être racialiste. Tout le reste n’est que fumisterie gauchiasse ou libérale qu’il faut absolument éradiquer…
Dans sa conception ethnomasochiste, Lucien Cerise nous propose une nouvelle définition de l’identité nationale française : « Etre français, c’est maitriser le chaos ». A-t-on déjà entendu pareille ineptie ? Oui, chez les mondialistes justement, ceux que l’auteur prétend combattre…
Et terminons en apothéose : « Nous avons un point commun : nous vivons tous « ici ». Les Français de souche, de branche ainsi que les immigrés ont donc un intérêt objectif commun (ce qui n’implique pas qu’ils l’aient tous compris) : prendre soin de ce pays, car leurs vies en dépendent. Prendre soin de ce pays comme d’un enfant, ou d’un jardin à faire fructifier, en lui impulsant une dynamique néguentropique, structurante et créatrice. Prendre soin de ce pays comme ils prennent soin d’eux-mêmes, en un mot, aimer ce pays comme ils s’aiment eux-mêmes. Telle est la voie de la paix identitaire que ce texte visait à explorer. »
Bienvenue au pays des Bisounours ! Alain Soral, sort de ce corps !
Quand un auteur de la « dissidence » nous conseille vivement de s’allier avec ceux qui nous envahissent et pour beaucoup nous méprisent, quand il ne parle pas un instant du retour des immigrés dans leur pays d’origine (cela ne sert à rien de citer Laurent Ozon et sa « maison Commune » si c’est pour en dénigrer le sens !), nous répondrons tout simplement à tous les collabos de service :
Un jour viendra où les traîtres paieront…
Yann
Lucien Cerise, L'effondrement contrôlé des sociétés hyper-complexes, Rébellion n°66 septembre/octobre 2014
Ne pas avoir peur d’être à contre-courant
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« JE SUIS CHARLIE ? » NON MERCI !!!
Tout d’abord, je trouve ce slogan ridicule. Quand, au m
oment de l’érection du mur de Berlin, Kennedy déclarait : « Ich bin ein Berliner », cela avait de la gueule. Mais quand les copains de Cohn-Bendit scandaient en 1968 : « Nous sommes tous des juifs allemands », je ne me sentais pas concerné, mais alors pas du tout. Aujourd’hui, on voudrait nous faire croire que nous sommes tous des amis de Charlie Hebdo. La plupart des benêts qui « tweetent » ou braillent ce slogan n’ont jamais ouvert ce journal qui tient plus du papier hygiénique usagé que de l’hebdomadaire. Héritier de Hara Kiri, « journal bête et méchant » comme il se qualifiait lui-même, Charlie Hebdo surfait sur la vague de l’esprit soixante-huitard et du caniveau.
Les hommes de Charlie Hebdo, Wolinski, Cabu, Charb… seraient tombés au « champ d’honneur de la liberté d’expression » (sic). Disons simplement qu’ils ont eu le courage d’afficher un certain courage en face de cet islam rétrograde et assassin qui veut nous « dhimmifier ». Contrairement à l’ensemble des media français qui ont fait dans leur froc. Un point, c’est tout.
Ils ont, en réalité, été pris dans un engrenage fatal. Tout commence par une blague de potache : les caricatures de Mahomet publiées dans un journal danois déchaînent dans tout le monde musulman une vague de haine anti-roumis (des centaines de chrétiens sont massacrés au Pakistan, en Indonésie et ailleurs). La plupart des rédacteurs en chef se dégonflent. Celui de France Soir a le cran de publier ces fameux dessins par solidarité avec les Danois ; il est viré. Charlie Hebdo, seul, ose les publier, en soutien à France Soir. Habitué à toutes les provocations, même les plus abjectes, il croit faire une bonne opération… médiatique et commerciale. Et ça marche, car le numéro s’arrache dans les kiosques. Mais les musulmans sont plus coriaces que les papistes. Poursuivi par « nos amis » du Conseil Français du Culte Musulman (Mosquée de paris, Dalil Boubakeur) et de l’Union des Organisations Islamiques de France (Tariq Ramadan), il est finalement relaxé par la justice française. Mais on ne vainc pas des Kalachnikov avec des Bic ! Pour conclure sur ce point, je pense que si Wolinski et Cabu avaient su ce qu’ils risquaient, ils n’auraient certainement pas pris cette décision…
Mais revenons à Charlie Hebdo, qui laboure plutôt le champ du déshonneur. Au nom de la liberté d’expression, mais uniquement celle de la gauche bobo. Regardez un peu les unes de ce torchon qui circulent sur Internet. De quoi avoir la nausée. De l’humour, un peu, du très mauvais goût, partout et toujours. Rappelez-vous ce dessin représentant l’adjudant Chanal (un pervers criminel sexuel) sodomisant le Soldat inconnu ou le pape sodomisant un enfant (la sodomie semble travailler les dessinateurs de Charlie Hebdo ; est-ce sous l’influence de la chroniqueuse Caroline Fourest ?). Son terrain de jeu, c’est de vomir sur tous les corps constitués de la nation, l’armée, la police… Et les croyants, catholiques surtout, mais aussi musulmans (s’ils avaient su…), mais peu sur les juifs (on ne s’appelle pas Wolinski pour rien). Charlie Hebdo « chiait » (pour employer un de ses mots préférés) sur tout ce qui était sacré aux yeux des gens. Il haïssait la nation, la famille, l’honneur, la fidélité… Il se faisait le chantre de l’immigrationnisme et de la décadence du peuple français (comprenez « de souche »).
Donc, pas une larme pour Charlie Hebdo ! L’ironie de l’histoire, c’est que cette feuille tout juste bonne à allumer (mal) le feu, qui était au bord de la faillite, va se refaire une santé financière parce que, maintenant, « Charlie ne peut pas mourir ». L’autre ironie de l’histoire, c’est d’imaginer la tête de Wolinski et des autres s’ils entendent, « là-haut » ou ailleurs, les Marseillaise entonnées en leur mémoire par des porteurs de drapeaux français : eux qui les conchiaient !
UNE COMPASSION ET UNE INDIGNATION SELECTIVES
« Je suis Charlie » est donc devenu, en trois jours, le slogan à la mode. Il est aujourd’hui obligatoire de s’incliner devant les dépouilles des caricaturistes de Charlie Hebdo, de se mortifier, de battre sa coulpe… Sortez vos mouchoirs. Tout le monde doit désormais aimer – et demain aider – Charlie Hebdo. Et tous les nigauds de se réunir, d’allumer leurs briquets et de « communier » ensemble. Y compris les catholiques que l’hebdomadaire salissait en permanence. Y compris les musulmans que Charlie Hebdo avait ridiculisés en insultant ce qu’ils ont de plus sacré : le Prophète. Rappelez-vous cette caricature où l’on voit Mahomet dire : « C’est dur d’être aimé par des cons ! ». Comme disent certains musulmans (peut-on les blâmer ?) : « Ils n’ont eu que ce qu’ils méritaient ! ».
Et comme chantait Aznavour, « Ils sont venus, ils sont tous là… ». Cinquante chefs d’Etat et des dizaines de délégations. Tout le gratin de la planète : l’Allemande Merkel, l’Italien Renzi, l’Espagnol Rajoy, l’Anglais Cameron, tout le brain trust de l’Union européenne. Sans oublier le Secrétaire général de l’OTAN et le ministre étatsunien de la Justice. Et Netanyahou, le premier Ministre israélien qui pratique un terrorisme d’Etat contre les Palestiniens. Et aussi, Davutoglu, le premier Ministre turc, et des émirs qataris et saoudiens : ceux-là mêmes qui fourguaient de l’argent et des armes aux égorgeurs de l’Etat islamique. Quelle sollicitude ! Ou plutôt quelle hypocrisie !
Gare à ceux qui n’y étaient pas ! Et en tout premier lieu ces « salauds » du Front National qui ont refusé de défiler à Paris (il faut dire qu’on les y a conviés avec des pincettes). A ce sujet, Marine le Pen a une attitude plutôt paradoxale. Elle s’est insurgée contre le fait qu’on ne l’ait pas invitée au « grand rassemblement d’unité nationale ». Mais elle n’a donc aucune mémoire. A-t-elle oublié que Charlie Hebdo a mis en une de couverture une « grosse merde » (c’est ainsi qu’on dit à Charlie Hebdo) peu ragoutante avec cette légende : « La candidate qui vous ressemble » ? A-t-elle oublié qu’elle et son père y ont toujours été caricaturés en Hitler ? A-t-elle oublié que ses électeurs y ont été traités de « gros cons » (toujours selon la terminologie de la revue) ? A-t-elle oublié cette autre une : « Que faire contre le Front National ? L’INTERDIRE ! » ?
Enfin, s’il s’était agi des journalistes de Rivarol, de Minute ou de Présent, croyez-vous qu’il y aurait eu tant de compassion ? Croyez-vous que Hollande, Valls, Taubira, Juppé, Sarkozy et les autres seraient descendus dans la rue pour crier « Plus jamais ça ! » ? Media et politiques auraient pensé « Bien fait pour eux ! » tellement fort que tout le monde l’aurait entendu. Quand ces journaux ont été attaqués (au plastic ou au cocktail Molotov), qui l’a déploré ? Et quand notre ami François Duprat a été assassiné lors de l’explosion de sa voiture préalablement piégée, laissant son épouse lourdement handicapée, qui s’en est ému ? Inutile de chercher d’autres exemples.
LA THEORIE DU COMPLOT ?
Dans les années 1980, les Américains ont manipulé les Pachtounes d’Afghanistan pour lutter contre les Russes. On connaît le résultat : les talibans du mollah Omar et le réseau al-Qaïda de ben Laden. Celui-ci a essaimé ses « franchises » un peu partout dans le monde arabo-musulman : Maghreb, Péninsule arabique… Dans les années 1990, la guerre civile d’Algérie a engendré des milliers de tueurs au nom d’Allah. Puis les anciens des deux conflits ont participé à la guerre de Bosnie contre les Serbes (puis au Kosovo) où ils ont montré une sauvagerie épouvantable. L’invasion de l’Irak en 2003 par l’Amérique de Bush n’a fait qu’accentuer le phénomène.
Plus récemment, l’assassinat de Kadhafi sur ordre de Sarkozy (je vous renvoie à l’analyse de Bernard Lugan) a détruit la Libye qui était un rempart contre l’islamisme djihadiste et l’immigration sauvage des Sahéliens et Subsahariens vers l’Europe. L’arsenal de Kadhafi n’a pas été perdu pour tout le monde : les armes de Coulibaly et Kouachi proviennent probablement de là-bas. La Libye est proche de tomber intégralement aux mains des islamistes. Pour éteindre l’incendie que nous avons allumé, nous voici impliqués dans une guerre perdue d’avance dans tout le Sahel : Mali, Niger, Tchad… En effet, comment prétendre être victorieux avec 4 000 hommes dispersés sur plusieurs centaines de milliers de km² ? Plus au sud, il a fallu mettre aussi les mains dans le cambouis en Centrafrique, où nous n’avons même pas le courage de désigner qui est le véritable ennemi : les Séléka musulmans. Encore une guerre qui nous échappe.
Enfin, Qataris, Saoudiens et Turcs n’ont cessé de soutenir financièrement et militairement les fous d’Allah pour tuer Bachar el-Assad et chasser les alaouites et les chiites de Syrie. Les gouvernements français de Sarkozy et Hollande ont ouvertement appuyé l’opposition « démocratique » syrienne ; en réalité, les tombereaux d’armes que nous avons livrés à ces pseudo-résistants se sont retrouvés dans les mains de l’Etat islamique et des autres mouvements djihadistes. Ajoutez à cette mixture quelques milliers de fondus venus d’Europe pour « faire le djihad ». Lavez-leur le cerveau, formez-les au maniement des armes et des explosifs et renvoyez-les en Europe. Il n’y a plus qu’à attendre que toutes ces taupes « pètent les plombs » l’une après l’autre.
On a pu lire sur Internet que certains voyaient dans cette tragédie un attentat sous fausse bannière (« false flag ») organisé par le Mossad ou je ne sais qui. Il faut savoir raison garder. Les Coulibaly et les Kouachi n’ont plus besoin d’être téléguidés ; ce sont des grenades dégoupillées qui ne demandent qu’à exploser. Ce n’est pas la peine d’imaginer qu’une « force obscure » pilote toutes ces opérations. Nous payons simplement le prix des comportements d’apprentis-sorciers des Américains et des Israéliens, mais aussi des Français, qui ont vu, tels le docteur Frankenstein, leur créature leur échapper. Et si cette force obscure existait, machiavélique et redoutable, c’est aujourd’hui qu’elle aurait dû frapper…
DES PROS OU DES PEIDS-NICKELES ?
Si on analyse le comportement des Kouachi, on est obligé de reconnaître que l’exécution de leur « mission » fut quasiment professionnelle. Sauf qu’ils se sont d’abord trompés d’adresse, puis qu’ils se sont trompés d’étage, que l’un d’eux a perdu une chaussure (qu’il a ensuite ramassée) et qu’ils ont « oublié » une carte d’identité dans la voiture. La suite de leur aventure confirme cette part d’amateurisme et l’absence de « réseau » pour les récupérer (et éventuellement les éliminer, si l’on retient la thèse complotiste) : leur cavale fut affligeante (pas de voitures relais, pas de planque, pas d’argent, pas de structure de recueil…). Quant à Coulibaly, qui devait « casser du flic », il n’a su que tuer une malheureuse fliquette de la même couleur que lui.
Trois pauvres types qui affrontent toute une armée, c’est un peu comme le taureau face au torero : l’issue ne fait pas de doute. Le GIGN et le RAID, c’est comme Dominguez et Manolete dans l’arène, on ne fait pas mieux. Sachons ici aussi raison garder : qui veut nous faire croire que ces trois pieds-nickelés ont fait trembler la République ?
C’EST QUOI, LA GUERRE ?
Une autre réflexion s’impose. Nous avons été gavés par les media pendant trois jours, quasiment sans interruption : « scènes de guerre », « c’est la guerre ! »… Conditionnés par un tel matraquage, les braves gens qui étaient interrogés par les journalistes répondaient qu’ils étaient « apeurés », « terrifiés », « horrifiés », etc., même lorsqu’ils se trouvaient à des kilomètres des événements. On ne savait même plus s’ils avaient peur des terroristes ou des forces de l’ordre. Je les rassure, ce n’est pas cela la guerre.
La vraie guerre urbaine, c’est connaître la vraie trouille, celle de courir sous les balles de sniper à Sarajevo, celle de fuir devant le nettoyage ethnique des musulmans en Bosnie ou au Kosovo, celle d’attendre la prochaine explosion d’une voiture piégée ou d’une bombe humaine à Bagdad ou à Beyrouth, celle de fuir l’horreur des tueurs de Boko Haram au Nigéria, des milices musulmanes des Séléka en Centrafrique ou de l’Etat islamique en Irak et en Syrie. Le reste, c’est « peanuts » !
Décidément, ce bon peuple de France ne sait plus où il habite. Il s’apitoie sur un journal de « merde » (toujours dans l’esprit de Charlie Hebdo) et il confond guerre et opération de police. Un état mental plus proche de la Débâcle de 1940 que du Verdun de 1916.
UNE COMPASSION BIEN RECUPEREE
Comme je l’écrivais au premier jour de ce feuilleton, nous allions vivre une première phase de compassion. J’avoue en avoir sous-estimé l’ampleur. Des centaines de milliers de gens dans la rue, peut-être des millions, pour défendre la liberté d’expression et les libertés en général. Un vrai, beau sursaut, spontané et sincère pour la plupart des participants. Sauf qu’on les a manipulés ! On ne les a pas réunis pour dénoncer le « terrorisme islamique » (expression bannie de tous les discours des hommes politiques, sauf ceux du Front national). On les a utilisés pour conforter un système qui a failli, pour promouvoir le « vivre ensemble » et pour redorer un tant soit peu la cote de popularité de Hollande et de sa clique !
On veut nous faire croire que plus rien ne sera comme avant. Demain, on s’aimera tous, chrétiens, juifs, musulmans, Blancs, Noirs, Maghrébins, métis... Cela me rappelle la grande fraternisation des Pieds-noirs et des musulmans sur la place du Forum à Alger, le 13 mai 1958 ; trois ans plus tard, les premiers n’avaient plus qu’à choisir entre la valise et le cercueil ! Cela me rappelle aussi la grande fête des « Blacks, Blancs, Beurs », au soir du 12 juillet 1998, quand l’équipe de France de football devint championne du monde ; elle est où, aujourd’hui, cette France « black, blanc, beur » ? D’ailleurs, si dans toutes les manifestations de ce jour les drapeaux français fleurissaient, je n’ai vu aucun drapeau algérien, marocain, tunisien ou turc, eux qu’on voit pourtant massivement lors d’autres événements (comme au soir de l’élection de Hollande)… Et en dehors des responsables musulmans qu’on nous montrait encore et encore, je n’ai pas vu beaucoup de mahométans. Alors, tous unis, vraiment ???
Demain, on nous répètera, pour être sûr qu’on ne l’a pas oublié, qu’il ne faut pas faire d’amalgame, qu’il ne faut pas stigmatiser une population, que cela n’a rien à voir avec l’islam, que l’islam de France est bon pour nous et que l’immigration est une chance pour la France, et surtout qu’il ne faut pas écouter les extrémistes (de droite)… Car comme l’a dit Manuel Valls, le véritable ennemi, c’est « le racisme et l’antisémitisme ». Faute d’appeler un chat un chat, et donc l’islam et l’immigration par leur nom, on s’en prendra aux « fachos » ; c’est tellement plus facile. Et les fachos, ce sont la Manif pour tous, les identitaires, Zemmour, Houellebecq et tous ceux qui ne sont pas dupes. Gare au retour de bâton !
Et l’on prend bien soin de cacher la vérité aux Français. Par exemple, que dans certains quartiers d’Alger, on a observé les mêmes scènes de liesse qu’au moment du 11 septembre, avec des slogans comme « A bas la France ! » ou « Mort aux juifs ! ». Ou que dans certains établissements scolaires, des élèves ont refusé de respecter les minutes de silence. Ou que sur les réseaux sociaux, les « Je suis Coulibaly » et « Je suis Kouachi » sont désormais plus nombreux que les « Je suis Charlie » (le temps des soldes est venu). Bonne occasion pour le patron du CRIF, Cukierman, de demander au gouvernement un « contrôle strict » de la Toile. Sans doute au nom de la liberté d’expression pour laquelle il a défilé !
LA VRAIE GUERRE DONT ON NE VEUT PAS NOUS PARLER
On a liquidé trois tueurs ? Fort bien, mais ce ne sont pas quelques dizaines d’autres illuminés qui sont prêts à prendre leur place, ce sont des milliers. Pourquoi ? Simplement parce qu’il y a dans ce pays treize millions d’immigrés et de descendants d’immigrés non européens, principalement afro-maghrébins, et que plus de sept millions d’entre eux sont musulmans. Parce que l’assimilation et l’intégration ont totalement échoué. Parce que la fracture est irréversible.
Les manifestants étaient un à deux millions dans la rue. Fort bien. Mais cela ne représente que 2 à 3% de la population française, ce qui relativise le discours de mobilisation unanime. Personnellement, depuis quatre jours j’ai entendu d’autres propos, ceux de braves gens exaspérés qui s’exprimaient à peu près en ces termes : « Si on nous demandait notre avis, nous dirions que nous en avons assez de tous ces « Français » multicolores qui ne parlent même pas français à la maison, qui ignorent tout de notre culture et veulent nous imposer la leur, qui nient notre histoire et exigent qu’on leur demande pardon (de quoi ?), qui transforment les « quartiers » en taudis du tiers-monde et en supermarchés de la drogue ! Nous dirions que nous en avons assez de tous ces barbus vêtus de djellabas, qui déguisent leurs femmes en draps housses et qui veulent imposer leurs horaires dans les piscines et bénéficier de plages horaires réservées pour leurs prières et leurs ramadans, et nous forcer à manger halal ! Nous dirions que nous en avons assez de la construction de toutes ces mosquées qui se transforment en pépinières d’activistes haineux (avant le passage par la case prison, où ils seront métamorphosés en terroristes assassins) ! Si on nous demandait notre avis, c’est ce que nous dirions à ces « élites » du « politiquement correct » dont nous ne supportons plus les mensonges et la lâcheté ! ».
Je vous incite à réécouter Madame Jeannette Bougrab, ancienne ministre et compagne du dessinateur Charb, qui déclarait récemment : « Notre république est agonisante » et qui avouait avoir eu la tentation de l’exil. J’ai aussi entendu un « expert » déclarer qu’il espérait qu’il n’y aurait pas trop d’actes islamophobes à la suite de ces événements. Il ajoutait qu’avec plus de cinq millions de musulmans sur notre territoire, tout était à craindre si cette population se sentait menacée ou se mettait en colère. Effarant, non ? Quand ce sont des gens comme nous qui le clamons, nous nous faisons traiter de racistes ou d’islamophobes. Mais quand ce sont d’anciens ministres ou des experts reconnus qui le disent, que faut-il en penser ?
Alain CAGNAT
Si ce n’est pas la guerre…
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Le policier abattu de sang froid :
… cela y ressemble fortement. Depuis le temps qu’on le dit…
Charlie Hebdo vient de payer le prix fort de la liberté d’expression. Nous n’avons pas beaucoup d’estime, en général, pour les media de gauche (et de droite), et même pour ce journal caricaturiste dont le fonds de commerce est de se vautrer dans la fange. Les journalistes de ce torchon ne nous aimaient pas et nous le leur rendions bien. Mais il faut reconnaître qu’ils en avaient dans le pantalon, contrairement à tous leurs confrères bien-pensants. Ils étaient quasiment les seuls à dénoncer cet islamisme qui nous a déclaré une guerre à mort. Ils l’ont payé de leur vie. « Respect » comme disent les « jeunes » d’aujourd’hui.
Le temps est ironique. Depuis des semaines, toute la bien-pensance s’acharnait contre Éric Zemmour pour son livre Le Suicide français, et plus récemment, contre Michel Houellebecq pour son Soumission. Haine de « l’autre », islamophobie, pétainisme, relents nauséabonds, esprit « beauf », délire paranoïaque,… Quant à l’attaque du commissariat de Joué-lès-Tours, et aux voitures lancées contre les marchés de Noël (tout un symbole) de Dijon et de Nantes ? L’œuvre de « déséquilibrés » plus à plaindre qu’à condamner, bien sûr.
Qualificatif dont on ne pourra surtout pas affubler les auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo : des pros, ceux-là ! Il sera intéressant de connaître leur parcours…
Nous commençons tout simplement à payer le prix d’une politique insensée qui a amené en Europe des dizaines de millions d’immigrés afro-maghrébins et autres, et qui y a fait le lit de l’islam. La responsabilité des élites occidentales est énorme : tout ceci ne peut finir qu’en guerre ethnico-religieuse. Nous le dénonçons depuis des décennies.
Le policier abbatu de sang froid :
L’actualité nous donne raison chaque jour un peu plus.
Pour le moment, on est dans le temps de la compassion. Cela va du président du Conseil français du Culte musulman, Dalil Boubakeur, au président du CRIF, Roger Cukierman, en passant par tous les thuriféraires du « vivre ensemble ». Quant à l’Etat, il « fera preuve de la plus grande fermeté » avec ces « barbares ». Le bal des faux-culs et des incompétents est ouvert. Et puis, il y aura de belles « marches blanches » dans toutes les villes de France, associant la droite et la gauche, les juifs et les franc-mac, les cathos et les laïcards (mais les musulmans, on les comptera sur les doigts des deux mains), où l’on défendra les « valeurs de la République » et la « démocratie ». Dérisoire !
Mais une fois les larmes ravalées, on peut compter sur tous nos directeurs de conscience pour nous assurer qu’il s’agissait « d’asociaux » (« c’est toujours la faute à la société »), qu’ils n’ont rien à voir avec l’islam de France qui est si tolérant, qu’il ne faut pas stigmatiser une population et que l’immigration n’y est pour rien. Ben voyons !
Et la mère Merkel pourra de nouveau dénoncer le mouvement PEGIDA et appeler à toujours plus d’immigration pour repeupler l’Allemagne Et le pape François continuera à faire la leçon à l’Europe entière, parce qu’elle refuse « égoïstement » d’accueillir sur son sol des millions d’autres immigrés de toutes les couleurs.
Mais bon sang ! Quand est-ce qu’ils vont comprendre que nous sommes déjà en guerre et que nous n’avons encore rien vu ?
Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne
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Face au risque de « grand effacement » : l’impératif du « grand ressourcement » !
L’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne lance officiellement ses activités,
pour une révolution culturelle et le réveil de la civilisation européenne
Institut ILIADE pour la longue mémoire européenne
Communiqué de presse du 21 décembre 2014
Face au risque de « grand effacement » : l’impératif du « grand ressourcement » !
L’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne lance officiellement ses activités, pour une révolution culturelle et le réveil de la civilisation européenne
Six mois jour pour jour après sa création officielle sur le mont Olympe, en Grèce, l’Institut Iliade met en ligne son site
internet www.institut-iliade.com. Unique en son genre, il constitue un centre de ressources autant qu’une plate-forme
interactive d’échanges et d’animation proposant notamment :
• Une bibliothèque idéale de plus de 300 ouvrages et un abécédaire européen constituant un dictionnaire de citations de quelque 791 entrées, outils d’un nécessaire réarmement intellectuel et spirituel constituant d’ores et déjà des références, mais ouverts aux contributions à venir des internautes ;
• Des itinéraires clés en main pour visiter, sac au dos, les hauts lieux de la mémoire européenne ;
• Des éphémérides mises à jour quotidiennement et des indications pratiques pour vivre et transmettre les traditions
de la Vieille Europe…
L’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne inscrit son action dans la durée. Son objectif est la réalisation
d’une révolution culturelle d’envergure, un impératif face à la crise de civilisation à laquelle nous sommes confrontés.
Car le grand remplacement s’accompagne d’un grand effacement de l’identité, de la culture et finalement de la conscience européenne. Répondre à ce défi suppose d’oeuvrer à un grand ressourcement, à la réappropriation par les
peuples européens, sur la terre de leurs ancêtres, de la fierté de leurs origines et de la volonté de se forger de nouveau
un destin. Un nécessaire sursaut qui concerne au premier chef le peuple français !
L’Institut s’inspire de précédents historiques significatifs : la révolution des Lumières porteuse des illusions de
l’optimisme progressiste et du règne de l’individu consommateur, ou le modèle d’hégémonie culturelle de type
gramsciste imposé par les « déconstructionnistes » de tout poil depuis près d’un demi-siècle…
Dans la continuité de la pensée et de l’action de Dominique Venner, l’Institut Iliade entend donc diffuser une
vue du monde en rupture avec le moment mortifère que nous connaissons aujourd’hui, mais aussi une attitude
d’insoumission à l’égard de la pensée conforme, et ce par tous les moyens disponibles (communication virale, livres,
presse, enseignement, formation, constitution et animation de réseaux…).
D’ores et déjà, les prochaines activités de l’Institut sont organisées :
• Les 31 janvier et 1er février 2015, avec la session inaugurale du 1er cycle de formation d’animateurs, capables de
donner à l’action civique ou politique la dimension culturelle et métapolitique indispensable.
• Le 25 avril 2015, avec le colloque annuel, à la Maison de la Chimie, à Paris, sur le thème de « L’univers esthétique
des Européens ».
Contact :
https://www.facebook.com/Institutiliade
https://twitter.com/InstitutILIADE
Institut ILIADE pour la Longue Mémoire Européenne
B P 7 5 2 2 5 - 4 9 0 5 2 A NGERS CEDE X 2 - www.institut- i l i a de.com
Rites païens du berceau à la tombe, naissance et petite enfance par Pierre Vial
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- Catégorie : Livres
Sortie aux Editions de la Fôret du premier tome d'une série de trois, consacrée aux rites païens du berceau à la tombe.
Ce livre sera vendu en avant-première lors de notre Table Ronde le 7 décembre à Rungis.
Ce premier tome aborde les thèmes de la naissance et de l'enfance. Nombre de jeunes couples et parents identitaires pourront se reporter à ce livre, véritable bréviaire en la matière.
Prix: 16€ + frais de ports (3,70 € france uniquement), (4,15 € Europe)
Les curieuses économies de la CPAM du Rhône
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- Catégorie : Communiqués
Pour les personnes désireuses de partir plus d'un mois à l'étranger, la caisse primaire d'assurance maladie dispose d'un système de dérogation permettant au pharmacien de délivrer et de facturer le nombre de mois souhaités par le patient en une seule fois. La règle habituelle étant la délivrance et la facturation mensuelles. Les conclusions de l'enquête sur la répartition des demandes de dérogation révèlent que 47% de celles-ci concernent un départ au sein de la CEE, mais omettent de détailler les 53% de celles concernant un départ dans un pays hors de la CEE.
A la lumière de cette enquête, l'assurance maladie vient de décider (voir courrier-ci-joint) que la dérogation ne concernera plus les départs pour un pays de la CEE...en revanche les sommes astronomiques dépensées pour les traitements des individus issus de l'immigration africaine continueront sans aucun frein.
Des mesures de santé publique racialistes, mais pas en faveur de notre peuple.
Aloys Durans
Le socialisme identitaire comme alternative au capitalisme
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- Catégorie : Auvergne - Bourbonnais
Comprendre les offensives du capitalisme (ici la conférence n'est pas entière, mais cela vous donnera une idée...) :
Le podcast (pour écouter) : http://meridienzero.fr/mp3/Meridien_0_17.10.2014.mp3
Merci à MZ et au MAS Auvergne.
La résistance identitaire européenne vous appelle !
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- Catégorie : Adhérer
La résistance identitaire européenne vous appelle à vous engager et à servir !
" Si un homme n'est pas prêt à affronter un risque quelconque pour ses opinions,
ou bien ses opinions ne valent rien, ou bien c'est lui qui ne vaut rien"
Ezra Pound
Le socialisme identitaire face au Capitalisme
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- Catégorie : Auvergne - Bourbonnais
Sois Fier d'être Lyonnais !
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- Catégorie : Lyonnais
- Privatiser, même les politiciens
- Le droit à l'identité, pour les Touaregs aussi sur leur Terre
- Non au traité transatlantique
- La résistance identitaire c'est ça !
- L’union européenne contre nos salaires
- Lutte pour une terre qui pleure...
- On nous traite de racistes pendant que notre génocide se déroule
- L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile
- Notre socialisme identitaire
- Notre socialisme identitaire
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