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Nous connaissons tous « L’Art de la guerre » cet ouvrage enseigné dans les écoles militaires, rédigé il y a 25 siècles par le général Chinois Sun Tzu. L’Art de la guerre nous apprend que gagner ou perdre une guerre n’est pas le fruit du hasard ou de la volonté des Dieux, c’est juste une question de méthode et de « duperie », à savoir que la guerre totale par le mensonge peut faire mieux encore que les armes. Un ouvrage que notre foudre de guerre actuel, dont le nez s’allonge à chaque fois qu’il ouvre la bouche, doit avoir en permanence comme livre de chevet.


Ceci dit, connaissez-vous « L’art de falsifier les élections »? Non, il ne s’agit pas d’un ouvrage, mais plutôt d’une méthode que le tout numérique va désormais élever au rang de « maître étalon ». Et vu le niveau d’implication de McKinsey dans la campagne d’Emmanuel Macron en 2017, nous ne pouvons que supposer que ce cabinet de « consultants » n’en est pas si éloigné que cela et en sera sans doute encore plus proche dimanche prochain…

Sun Tzu décrit dans son livre que, pour atteindre la victoire, le stratège habile s’appuie sur sa puissance, mais plus encore sur le moral des hommes, les circonstances qui l’entourent et l’information dont il dispose. Pas de doute, Vladimir Poutine lui, l’a lu et en fait bon usage !

Pour falsifier une élection le principe est le même – ou presque !
Vous commencez par démoraliser vos adversaires en étalant des sondages truqués, sous-estimés, par habituer le « petit peuple » à l’idée que le Foutriquet restera en place quoi qu’il arrive et ce, malgré que 84 % des Français aient déclaré qu’ils ne voulaient plus de lui, ce qui permettra de mettre en évidence sa pseudo-victoire par rapport aux sondages précédents. Ca, ce sont les bases !

Savez-vous qu’en France, les votes de l’élection présidentielle sont compilés par les autorités sans qu’on puisse les recompter puisque les bulletins sont détruits après le vote ? Par conséquent, si les résultats transmis par les bureaux de vote sont falsifiés durant le transfert numérique, il est impossible de le prouver en faisant recompter les voix. Avouez que c’est bien pratique !

Comment transférer les voix ? Car toute la question est là. Si une majorité de Français vote pour Z ou F, comment leur voix vont-elles pouvoir se retrouver dans l’escarcelle du candidat M ?
En fait c’est très simple…

Imaginons l’impossible avec un exemple grandguignolesque… à 20h45, aux deux tiers des dépouillements de l’élection présidentielle, un candidat enregistre 1,59 %, soit 443 003 voix sur 14 801 491 de votes exprimés. Pourtant les résultats officiels quelques minutes plus tard vont laisser apparaître 24,01 % de votes pour 8 656 346 voix en faveur du même candidat, soit +8 213 343 voix gagnées en quelques minutes ! Comment cette fraude aurait-elle été envisageable ? Tout simplement par le jeu des transferts de voix.

 

LE TOUR DE PASSE-PASSE DU TRANSFERT DE VOIX

Partant de ce principe, les résultats du 1er tour de l’élection présidentielle de 2017 pourraient avoir été falsifiés grâce à un programme informatique très élaboré, conçu pour « voler» un maximum de voix dans les votes concernant les petits candidats. Vous savez, ceux dont les sondages indiquent qu’ils seront à moins de 14 %. En fait, plus les sondages maintiennent ces candidats à un niveau très bas dans les intentions de vote et plus il est possible de venir prélever des voix dans leur escarcelle sans que personne ne le remarque, ainsi que dans les votes nuls ou blancs. Souvenez-vous de ces deux arrondissements de la ville de Lyon qui se sont retrouvés avec « O » bulletins nuls ou blancs dans les résultats officiels, juste avant que « comme par hasard » on en retrouve quelques uns qui traînaient par là.
C’est par ailleurs tout l’intérêt des sondages « officiels » qui permettent de masquer le vol des voix et leur transfert d’un candidat à un autre. Qui, en effet, se poserait des questions si NDA n’a que 2 % des voix au 1er tour alors qu’il est déjà donné à 2,5 % (par exemple) par les sondages. Vous comprenez maintenant pourquoi les résultats sont souvent si semblables aux «estimations» des instituts de sondage ? « Estimations » largement relayées par les médias mainstream. A l’époque, le logiciel « Soluvote », utilisé pour cette opération appartenait à la société France Election.

En annonçant la victoire d’un candidat dans les sondages vous validez immédiatement le résultat final de l’élection sans que personne ne se pose de questions !

Dans les grandes villes, la multiplicité des bureaux de vote oblige à une centralisation globale de ces derniers. Chaque responsable d’un bureau n’ayant pas accès aux résultats des autres, il est beaucoup plus difficile de vérifier la véracité des chiffres annoncés. Plus les zones urbaines sont importantes, plus les bureaux de vote sont multipliés et plus il est facile de tricher en transférant des voix. Ajoutons à cela les expatriés dont les votes sont récupérés par le biais des machines à voter… En volant des voix de façon linéaire et régulière, « raisonnablement », l’opération est quasi-invisible.

FRAUDE ET TRICHERIE « EN MARCHE »

N’oublions pas que depuis 2004, 63 communes utilisent déjà des machines à voter pour 1,3 millions d’électeurs. Il s’agit des machines à voter ESFA, de la société néerlandaise NEDAP et commercialisées par la société France Elections. Le plus amusant c’est que l’Irlande et les Pays-Bas qui utilisaient ce type de machines ont justement mis fin à leur utilisation en février 2021 du fait qu’elles « n’étaient pas conformes aux exigences de sécurité » et « non fiables ».
Or, si vous examinez sur internet les résultats des votes du second tour de 2017 vous constaterez comme moi que notre Foutriquet est toujours bien au-dessus de sa concurrente avec ces machines de vote, ce qui laisse planer un doute raisonnable.

Autre programme, celui-là impliqué dans la fraude des élections américaines, le programme Scytl qui est utilisé par le Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères depuis 2009 pour permettre aux Français expatriés, soit 1,7 millions de personnes, de voter à distance grâce au logiciel Invote Gov. Ce logiciel prétend répondre aux exigences de sécurité et de vérifiabilité les plus élevé du marché… Le « gag » de l’affaire, c’est que ce logiciel est certifié par l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI), créée en 2009 (justement) pour garantir l’utilisation de pratiques responsables en matière de sécurité informatique en France !
Si l’on ajoute ces 1,7 millions de Français expatriés qui votent à l’aide de machines aux 1,3 millions en France, cela nous fait 3 millions de votes aisément falsifiables. Une quantité largement suffisante pour permettre au Foutriquet de se faire élire en 2017 et réélire (Dieu nous en préserve) en 2022 !

COMMENT TRICHER AVEC UN LOGICIEL « CERTIFIE » ?

La question posée à un ingénieur informatique l’a fait beaucoup rire… « Rien de plus facile, c’est inclus dans la conception » ! Un logiciel c’est juste du «codage». Un codage a qui l’on fait faire ce que l’on veut lors de la conception du logiciel. Il est en outre aisé de « glisser » des lignes de code qui disparaîtront» au bon moment à une date et une heure données. « Ca aussi on peut l’impliquer dans le programme, tout comme la mise à jour automatique à la fin de l’utilisation qui effacera toutes traces ». Ceux d’entre nous qui travaillent sur des conceptions de logiciel le savent bien. Il suffit d’inclure les bonnes lignes de code, aux bons endroits, pour que les votes soient transférés à volonté. La base étant dans la programmation en fonction des résultats que l’on veut obtenir : combien de votes blancs devront-ils être détournés selon la quantité affichée ; combien de votes nuls ; combien de votes pris sur certains candidats seront transférés et lesquels, etc. ?
« A partir du moment où le cahier des charges est précis, tout est faisable. C’est juste une question de temps pour le réaliser. »


Valérie Bérenger

Source : Riposte Laïque

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