Groupe dexperts intergouvernemental sur lévolution du climat

En 1970, on nous prédisait des températures sibériennes. Mais en 2000, on nous annonçait au contraire des chaleurs sahariennes. Preuve que l’homme est bien incapable d’agir sur un phénomène  qu’il ne maîtrise pas et ne peut maîtriser.

1 200 scientifiques et universitaires de renom, dirigés par un prix Nobel, viennent de signer une Déclaration mondiale sur le climat, affirmant qu’il n’y a « aucune urgence climatique ». De quoi finir sur un bûcher.

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/08/23/1200-scientifiques-et-universitaires-de-renom-signent-la-declaration-mondiale-sur-le-climat-et-affirment-quil-ny-a-pas-durgence-climatique/

On ne compte plus les manipulations de masse soigneusement orchestrées par les mondialistes, au profit d’intérêts particuliers ou de régimes sans scrupules. Des guerres ont été déclenchées sur des mensonges d’État, la diabolique dictature sanitaire mondiale a fait la fortune des labos, la guerre en Ukraine est odieusement présentée en Occident comme une inique agression du boucher Poutine, et le réchauffement climatique est mis sur le dos des activités humaines, ce qui est une farce scientifique monumentale.

Les plus grands scientifiques ont toujours affirmé que le climat ne dépend que de l’activité solaire, des mouvements de la Terre sur son orbite et des courants marins, et ce, depuis que l’Univers existe.

Les paramètres du savant serbe Milankovic sont des plus explicites pour comprendre le climat et les saisons.

https://fr-fr.facebook.com/EspritSorcier/videos/les-param%C3%A8tres-de-milankovic/1370089989750974/

Mais la fable du réchauffement climatique d’origine humaine permet de développer des projets économiques titanesques de plusieurs centaines de milliards de dollars, censés limiter la hausse des températures.

Nos scientifiques ne sont même pas capables de prévoir un coup de vent violent sur une plage, ni le temps qu’il fera demain, mais on nous annonce des hausses apocalyptiques du niveau des océans à la fin du siècle, à cause de nos voitures et de nos usines. Tout cela est grotesque.

A cette remarque, les imposteurs du climat nous rétorquent qu’il ne faut pas confondre météo et climat, alors que ce sont eux qui confondent pollution et réchauffement.

Oui, nos voitures et nos usines polluent, c’est une évidence, mais elles ne modifient en rien le climat, qui suit les cycles naturels de réchauffement et de refroidissement depuis des  millions d’années.

Et prétendre que le CO2 est une menace, alors que c’est la source de toute vie, est un crime.

Ce que disent ces 1 200 scientifiques, mais ils ne sont pas les seuls, c’est que le Giec devrait être moins politisé et les politiques devraient être plus sensibles au discours scientifique des climato-réalistes. Comme pour la guerre en Ukraine, un seul discours a droit de cité, tout contradicteur étant aussitôt diabolisé.

Pour nos 1200 scientifiques, le récit climatique dominant est absurde.

Les politiques menées par les gouvernements n’ont rien de scientifique et engendrent des dépenses gigantesques. La semaine dernière par exemple, le Président américain Joe Biden a signé une loi adoptée par le Congrès nommée Inflation Reduction Act. Elle implique notamment de soutenir le développement des énergies vertes en vue de réduire les émissions de CO2 de 40% d’ici 2030. Ce projet de loi va coûter 368 milliards de dollars aux contribuables. Un fabuleux fromage…

 

Mais tous les politiques ne sont pas aveugles.

A noter qu’en 2021, Steven Koonin, sous-secrétaire d’État à la science au sein de l’administration Obama, a publié un livre intitulé Unsettled dans lequel il affirme que « la science est insuffisante pour faire des projections utiles sur la façon dont le climat changera au cours des prochaines décennies, et encore moins sur les actions que nous devrons entreprendre ».

Il n’existe aucune preuve statistique « que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et les catastrophes naturelles de ce type, ou les rende plus fréquents…Il n’y a pas d’urgence climatique ». Le climat a toujours varié.

« Le dioxyde de carbone n’est pas un polluant ». Au contraire, c’est un gaz bénéfique pour la nature et l’agriculture. Le dioxyde de carbone est un élément « essentiel à toute vie sur terre », il nourrit les plantes. Ainsi, ces scientifiques sont contre les mesures politiques visant à diminuer le taux de CO2.

De son côté, le physicien Brian Catt, dénonce le mythe climatique créé par l’ONU et le Giec avec leur dogme du CO2.

https://lemediaen442.fr/le-physicien-brian-catt-denonce-le-mythe-climatique-cree-par-lonu-et-le-giec-avec-leur-dogme-du-co2/

Selon ce physicien, l’Onu a falsifié l’histoire naturelle de la planète par des mythes. Quant au Giec, il trafique les données pour satisfaire aux conclusions attendues.

« D’après Brian Catt, les soi-disant experts utilisent des données falsifiées en entrée afin que cela colle avec les climato-menteurs du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) concernant l’attribution au CO2 de la responsabilité du réchauffement climatique pour permettre ainsi de culpabiliser les hommes et d’instaurer toutes sortes de taxes. »

 

Conclusion

Bien des scientifiques ont expliqué les mécanismes de l’Univers qui nous échappent et expliquent les variations climatiques depuis la nuit des temps. Il est donc éminemment prétentieux de la part des charlatans du Giec et des politiques complices de cette arnaque planétaire de faire croire que l’homme peut agir sur le climat.

Si l’homme pollue bien son propre environnement, il n’est que poussière à l’échelle de l’Univers.

Non seulement la quantité de CO2 rejetée par l’homme dans l’atmosphère est marginale, mais elle est absorbée en quasi-totalité par les océans, les véritables régulateurs du climat sur Terre.

Une fois de plus, les dirigeants manipulent les peuples pour mener à bien leurs grands desseins économiques et satisfaire de puissants lobbys industriels. Un lavage de cerveau au nom du roi dollar.

Une monumentale arnaque scientifique au bénéfice de quelques-uns, mais qui coûte des centaines de milliards au contribuable. Et ce n’est que le début.

Jacques Guillemain

Source : Riposte Laïque

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