« La meilleure façon de comprendre la signification de la nouvelle normalité est peut-être de la décrire comme un changement de paradigme irréversible vers le capitalisme de crise », écrit Fabio Vighi. Le capitalisme d'aujourd'hui n'a plus besoin de crises pour renforcer sa capacité de croissance, « mais pour masquer son incapacité chronique ».
La fonction épistémique de la « crise » a donc changé. « Autrefois, elle conduisait à un nouveau cycle économique, aujourd'hui elle facilite la gestion agressive de la décomposition socio-économique », explique M. Vighi.
Aujourd'hui, « la dépendance du capitalisme à l'égard du crédit, financé à l'extrême, exige une contraction de l'économie réelle, principalement par le biais de chocs calculés ». C'est précisément en raison de son impuissance inhérente que le capitalisme de crise est « politiquement autoritaire » et a besoin d'une « industrie d'urgence », répète M. Vighi.
Le document rapporté ici a été publié le 18 mai par l'agence de presse chinoise Xinhua, et analyse les stratégies utilisées par les Etats-Unis dans l'application de la diplomatie coercitive contre leurs rivaux et alliés. Vous trouverez ci-dessous la traduction intégrale en français (d'après la version italienne).
Lire la suite : La diplomatie coercitive des Etats-Unis et ses dégâts
Quand, dans la mouvance métapolitique de la « nouvelle droite », dès la fin des années 1970, on évoquait la thèse de Jürgen Spanuth, qui situait l’Atlantide de Platon dans la mer du Nord, plus exactement dans les parties immergées de l’île allemande d’Heligoland, reste très réduit d’un territoire insulaire préhistorique, protohistorique et même médiéval, nous étions très sceptiques : nous prenions cette thèse pour une fantaisie nordiciste reposant certes sur des indices archéologiques incontestables mais trop ténus pour étayer toute certitude historique.
Les éditions Pardès poursuivent la réédition des œuvres de Robert Brasillach avec ses lettres écrites en prison. Brasillach, qui avait quitté l'équipe de Je suis partout qu'il estimait trop ultra, trop collaborationniste, alors que le cours des événements avait bien évolué, ne suivit pas le gouvernement de Vichy en exil en Allemagne, contrairement à Rebatet et à Cousteau. Il s'était réfugié, le 14 août 1944, dans une chambre de bonne vide et isolée appartenant à une amie, au Quartier latin à Paris. Alors commença une vie de « hors-la-loi » qu'il réussit à trouver assez drôle, pittoresque, et qui lui rappelait un peu son existence bohême et aléatoire dans les camps de prisonniers en Allemagne.
Lire la suite : Lettres écrites en prison par Robert Brasillach
Le véritable propriétaire de l'Ukraine sera celui qui détiendra sa principale richesse - des hectares de terres fertiles, ce qu'on appelle le « grenier de l'Europe ». Et depuis l'arrivée au pouvoir d'un gouvernement pro-occidental en 2014, la majeure partie de ces terres est contrôlée par les investisseurs occidentaux.
Lire la suite : L'Ukraine risque de subir une privatisation forcée de ces terres
La mission du Forum économique mondial (World Economic Forum, WEF) est remarquablement simple : le gouvernement mondial doit être confié aux meilleurs et aux plus intelligents. En langage WEF, un schéma de supervision totale et de modification du comportement créera un avenir «durable» pour l’humanité. Les humains sont perçus comme des «choses» à compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Ils deviennent de simples rouages de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF.
Lire la suite : Le Forum économique mondial nous promet l’esclavage par l’intelligence artificielle
Page 161 sur 618