Songes et mensonges...


Christian Prouteau, fondateur du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), critique longuement ce vendredi dans Ouest France, l'opération du Raid à Toulouse, "menée sans schéma tactique précis", s'étonnant notamment de l'absence d'utilisation de gaz lacrymogène.
Alors qu'on lui demande s'il est étonné que l'opération du Raid, unité concurrente du GIGN, se termine par la mort de Mohamed Merah, Prouteau répond: "oui. "Comment se fait-il que la meilleure unité de la police ne réussisse pas à arrêter un homme tout seul ?"

"Il fallait le bourrer de gaz lacrymogène", assure-t-il. "Il n'aurait pas tenu cinq minutes. Au lieu de ça, ils ont balancé des grenades à tour de bras. Résultat : ça a mis le forcené dans un état psychologique qui l'a incité à continuer sa "guerre"."

"En fait, je pense que cette opération a été menée sans schéma tactique précis. C'est bien là le problème", conclut Christian Prouteau

Evidemment, il convient là pour correctement saisir le vrai de ce que le spectacle étatique nous câche, de lire notre gendarme à l'envers en comprenant bien entendu qu'il fallait empêcher définitivement Merah de parler et que pour se faire, le schéma tactique était extrêmement précis mais à l'inverse du dire officiel qui d'ailleurs a tout d'un coup complètement gommé le témoignage pourtant essentiel de Martine, témoin de la tuerie de Montauban qui déclara alors: " le tueur était de taille moyenne, un mètre soixante-dix environ et assez corpulent. Si ce n'est le tatouage de sa joue gauche, je n'ai pas vu d'autres signes distinctifs particuliers "...

Précisons là que Merah était grand et maigre et qu'il ne portait aucun tatouage au visage...
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