polanski


Jusqu’à la lie

Nous n’avons pas beaucoup d’atomes crochus avec Marine Le Pen mais il faut reconnaître, objectivement, qu’elle a lancé un bien beau pavé dans la mare en se payant en direct, à la télévision, cette belle âme de Frédéric Mitterrand. Ce type, si content de lui d’habitude, donneur de leçons, arbitre des snobismes en tous genres, se retrouve aujourd’hui confronté au rappel de ce qu’il est. Ce qu’il est vraiment (ses dénégations pleurnichardes concernant ses vices sont pitoyables).

Il avait volé récemment au secours de Polanski, le violeur sodomite d’adolescente. Aujourd’hui c’est Delanoë (bien sûr) qui défend Frédéric Mitterrand, tout comme d’autres membres, avoués ou non, de leur confrérie. Et Le Monde, toujours là lorsqu’il s’agit de prendre fait et cause pour les ignobles. Et surtout Sarkozy. Nous disons surtout parce qu’un président de la République est censé incarner la France. Bien entendu, cette France qu’il représente n’est pas, ne peut pas être la nôtre, car nous en avons honte. Nous la vomissons.

Ce sera le crime de Sarkozy devant l’Histoire : avoir fait de ce qui fut, il y a longtemps, notre pays un objet de risée, de mépris. Tout particulièrement pour ces Maghrébins et Noirs installés chez nous et qui, à juste titre, méprisent tout ce que peut représenter un Frédéric Mitterrand et, du coup, ce gouvernement de fantoches qui, pour ne pas perdre leurs prébendes, sont prêts à justifier n’importe quoi, y compris le pire. Comment respecter un tant soit peu de tels cloportes ?

Ce sont eux – et leurs semblables – qui, avec l’orchestration des media, s’extasient sur le prix Nobel de la Paix décerné au métis Obama. Car ils savent bien – et s’en réjouissent – qu’Obama a reçu cette distinction pour une seule et unique raison : il incarne la société multiethnique que les valets de l’axe Washington-Tel Aviv et les zélotes du cosmopolitisme à outrance veulent imposer à l’ensemble du monde.

Sarkozy-Obama même combat ? Seuls les naïfs ou les demeurés peuvent encore en douter.


Pierre VIAL


PS : Voyez qui étaient les signataires de la pétition contre la "majorité sexuelle"...

http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9titions_fran%C3%A7aises_contre_la_majorit%C3%A9_sexuelle


Entre 1977 et 1979, alors qu’une réforme du Code pénal français était en cours de discussion au Parlement, de nombreux intellectuels français, dont des figures célèbres, ont signé des pétitions et des lettres ouvertes demandant soit l’abrogation des lois sur la majorité sexuelle soit la relaxe des individus arrêtés sous des charges de détournement de mineur.

Bernard Kouchner et Jack Lang ont été bien discrets dans l’affaire Polanski et Mitterrand. Pourtant…

Une lettre ouverte fut publiée dans Le Monde du 26 janvier 1977, la veille du procès de trois Français (Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien, et Jean Burckardt), tous accusés d’avoir eu des relations sexuelles avec des filles et des garçons de 13 et 14 ans. Deux d’entre eux ont été en détention temporaire depuis 1973 et la lettre fait allusion à ce fait comme scandaleux. La lettre fut signée par 69 personnes, dont Jack Lang (qui fut plus tard ministre de la Culture et ministre de l’Éducation en France), Bernard Kouchner (qui a été ministre de la Santé en France et cofondateur de Médecins sans frontières et qui est TOUJOURS Ministre de M. Sarkozy), Michel Bon (précédemment P-DG et président du conseil d’administration de Carrefour et France Télécom et actuel Président de l’Institut Pasteur), et des intellectuels publics comme Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Gilles Deleuze, Roland Barthes, André Glucksmann et Guy Hocquenghem, ainsi que 9 spécialistes – 5 psychiatres, 1 médecin, 1 psychologue, 1 psychanalyste et 1 spécialiste des sciences humaines.[5],[6],[7],[8] Le document déclare qu’il y a une disproportion entre la qualification de leurs actes en tant que crime et la nature des actes reprochés, et également une contradiction puisqu’en France les adolescents sont pleinement responsables de leurs actes à partir de l’âge de 13 ans. Le texte fait également remarquer que si des filles de 13 ans ont le droit de se faire prescrire la pilule en France, elles doivent aussi pouvoir consentir.

Source Wikipédia


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