{xtypo_dropcap}L{/xtypo_dropcap}es récentes vicissitudes électorales, qui ne concernent évidemment pas Terre et Peuple en tant qu’organisation, ont mis cependant en évidence un phénomène majeur : la France officielle s’affirme, se proclame désormais, systématiquement, comme une « France » Blacks-Blancs-Beurs. Et là nous sommes concernés. Totalement. Puisque le combat de TERRE ET PEUPLE est celui de notre identité ethnique. C’est dire que la « France » dont parle le Système, par la voix de tous ses représentants (politiques, économiques, culturels, sportifs, religieux, etc…), est pour nous désormais un mot vide de sens.

 
 
 

On voit d’ailleurs les limites et les illusions de l’action politique lorsque aucun parti, y compris ceux qui se disent « nationaux », n’ose mettre en avant, clairement, le facteur ethnique. De peur du qu’en-dira-ton ? De peur de perdre de précieux électeurs, effarouchés par l’affirmation de cette question élémentaire, primordiale ? Comme si l’avenir de nos peuples européens se jouait dans les urnes… Alors qu’il se joue dans les cerveaux, dans les cœurs, dans les âmes. Autrement dit, la survie de nos peuples est totalement conditionnée par la prise de conscience, chez quelques-uns – les combattants identitaires – du combat vital qui se déroule sur notre sol et dont l’enjeu est simple, terriblement simple : y aura-t-il encore, demain, des peuples européens ? La question – la seule question – est là. Cessons une bonne fois de tourner autour du pot. Nous n’avons plus le temps des arguties, des faux-semblants, des prêchis-prêchas, des pudeurs de vierges effarouchées.

Affirmons-nous tels que nous sommes : Gaulois et Européens. Les deux mots sont d’ailleurs synonymes dans la bouche des individus d’origine africaine qui, pour désigner ceux qui ne sont pas de même origine qu’eux – à savoir les Européens – les appellent « les Gaulois ».

Des gens bien intentionnés me disent qu’il est imprudent de s’exprimer ainsi. Mais il faut bien que quelqu’un le dise – et je crois que beaucoup de gens attendent qu’on le dise, clairement, enfin… Et puis qui connaît l’avenir ? Qui sait combien de temps nous avons encore devant nous ? Décidément, il est temps, grand temps de faire – enfin – ce que l’on doit faire. Sans se préoccuper des critiques, des émois, des vitupérations, des fantasmes. Désolé, on n’a plus le temps.
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