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Il y a peu d'hommes que j'ai croisé et qui peuvent servir d'exemple.
Jean par son humilité et sa gentillesse fera à jamais partie de ces hommes qu'on n'oublie pas. Il ne trichait pas et disait la vérité tout simplement, contrastant avec une grande partie de ceux qui se prétendent mais qui ne sont pas.
Un grand Homme nous a quitté.
Bon voyage Jean, votre âme est réstée pure. Revenez nous plus fort et plus grand encore.
Roberto Fiorini
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Guy Sajer et non Guy Mouminoux, vrai patronyme de ce fils alsacien d'un Français et d'une Allemande, puisque c'est de ce nom de plume qu'il signa, en 1967, son récit autobiographique Le Soldat oublié qui le fit entrer dans la compagnie d'élite des grands témoignages sur la deuxième guerre mondiale, côté allemand : on sait qu'il y raconta avec réalisme et sensibilité, son recrutement puis son expérience au sein de la division Grossdeutschland, unité d'élite de la Wehrmacht. Bref à 16 ans il fut jeté dans l'enfer non métaphorique du Front de l'Est, participant notamment, à l'été 43, à la gigantesque bataille - de chars et d'hommes - de Koursk, tournant décisif - plus que Stalingrad - de la guerre sur le front russe.
Lire la suite : In memoriam: Guy Sajer alias Dimitri (1927-2022)
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Fils de Dany et Pierre VIAL, Didier, nous a quittés brutalement à l’âge de 57 ans.
Homme d’action et soldat de fortune pendant plusieurs années,
Didier est parti pour son dernier voyage avec les Oies Sauvages ...
En ce moment douloureux, nos pensées vont à sa famille.
Didier VIAL, Présent !
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Un de nos camarades a réagi à nos différents messages sur la Commune de Paris :
"Mon grand-père à l'âge de 14 ans a été blessé par balle sur les barricades de la Commune de Paris, soigné cinq jours à l'hôpital Lariboisière à Paris, il s'appelait Louis Van den Houten."
L'homme de l'avenir est celui qui aura la mémoire la plus longue...
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CHN 2 : François Duprat et le nationalisme-révolutionnaire - 24,00€ TTC
Sous la direction d’Alain Renault - RÉÉDITION : MAI 2020 - Pour mieux connaître les idéesde François Duprat cliquez ici
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Entre Francis le turbulent garçon des Marolles, le plus vieux quartier populaire de Bruxelles, et Francis l’orateur enthousiaste, député et vice-président du parlement belge, il se déploie plus d'un demi-siècle d'engagement ininterrompu pour la Flandre, pour l'ensemble des Pays-Bas et pour l'Europe. Pas l’Union européenne, mais ce qu’il aimait appeler l’Empire des peuples européens.
J'ai rencontré Francis à cette première époque et au fil des ans je l'ai vu évoluer - et rester le même. Nous étions rarement membres des mêmes associations. Cela a abouti très régulièrement à des discussions animées autour d’une pinte. Pintes, au pluriel, pour être juste !
La Flandre est devenue plus pauvre
Parce que la bonne Flandre a un champion en moins, quelqu'un qui prêchait l’engagement et le vivait lui-même. L'engagement d'un Till Ulespiègle, toujours frais et spontané, avec le visage découvert et plus d'humour que ses adversaires ne pouvaient souvent en supporter. Se battant pour ses principes, avec un sourire aux lèvres, tenace, mais jamais aigre ou cassant. Et cela aussi bien en néerlandais qu’en français et d’autres langues encore.
Quant au Conseil municipal de la ville de Gand il fut confronté pour la énième fois aux « heures les plus sombres de notre histoire » et la collaboration de certains nationalistes flamands, il demanda d'abord pourquoi la mairie maintenait un nom de rue et une statue pour Lieven Bauwens (1769-1822). Des points d'interrogation sur de nombreux visages. Eh bien, a rappelé Francis aux conseillers municipaux, Bauwens était un collaborateur de l'occupant sans-culotte français, maire de guerre de Gand, à la fois jacobin et chouchou de Napoléon...
De plus, Francis - lui-même issu d'une famille « blanche comme neige » - s'est émerveillé de la mémoire misérablement courte d'un certain nombre de collègues verts, libéraux et rouges qui auraient mieux fait de se rappeler leur propre passé familial dans la guerre. Après la réunion du conseil, au moins un membre de chaque groupe mentionné est sorti dans les couloirs pour le remercier de ne pas avoir mentionné son nom.
De cette façon, Francis s'est fait des amis ou du moins des adversaires respectueux - en donnant lui-même l'exemple. Cela ressemble à l'école, mais cela a fonctionné. Il a été aidé par sa mémoire phénoménale et son trésor d'anecdotes historiques. Et ses nombreux voyages, littéralement à travers le monde. J'aurais aimé l'entendre parler du Myanmar, où il avait bien sûr été et fouiné, mais ça n'a plus été possible.
Puis il y avait ses histoires irlandaises. Je ne pense pas que la Flandre ait eu un meilleur connaisseur d'Irlande. D'ailleurs, son fils aîné y habite, marié à une Irlandaise : « Le seul pays étranger à qui j'ai voulu céder un enfant »...
Quand en 2010 il ne s’est plus porté candidat pour l’Assemblée nationale, il a tenu un discours remarquable sur « ce qui nous sépare », prônant que ce n’était guère le clivage droite-gauche, mais beaucoup plus l’antagonisme entre le populisme ethno-culturel de Herder, le boulangisme ou encore Barrès d’un côté et l’étatisme, allant des jacobins à Maurras et de Jean Bodin à Marx du côté opposé. Silence sur tous les bancs.
La Flandre est devenue plus riche
Francis faisait partie de ces personnes uniques qui quittent le monde en le laissant plus beau qu’elles ne l'ont trouvé. Que cela ait été possible est la pensée éminemment réconfortante que Francis nous laisse.
Chaque mort soulève des questions dont on se demande s'il faut les poser : Ne sommes-nous pas, les vivants, des morts en vacances dans ce monde ? Quoi qu'il en soit, la Flandre est devenue plus riche d’un exemple concret, nous sommes tous devenus plus riche d'un souvenir d’une personnalité unique, dont la chaleur honnête et l'inspiration profonde nous aident tous à continuer à vivre et à nous engager.
Francis a littéralement vécu ce que les dieux, par l'intermédiaire de Walter Flex, l’auteur des Oies sauvages, lui avaient ordonné :
Ce que personne n’ose, tu l’oseras,
Ce que personne n’exprime, dis-le,
Ce que personne ne pense, tu l’argueras,
Ce que personne n’ose, fais-le.
Si personne ne dit oui, toi tu le diras,
Si personne ne dit non, à toi de nier,
Si tous doutent, confiance tu feras,
Si tous s’emballent, tu seras le dernier.
Quand tous acclament, prends ton temps,
Quand tous se moquent, silence salutaire,
Quand tous refusent le partage, soit clément,
Quand tout est sombre, allume la lumière ![1]
Écrit spécifiquement pour lui, on dirait.
Nous offrons nos condoléances à sa chère épouse et à ses quatre enfants, avec ce conseil de Francis lui-même: « Chérissez vos souvenirs, ils sont la seule chose que personne ne pourra jamais vous enlever. »
Au revoir Francis, cher ami d'une honnêteté désarmante, au revoir.
Et un grand merci pour tout.
Luc Pauwels
[1] Traduction de l’allemand par Wido Bourel.
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C’est avec émotion que nous avons appris la nouvelle. Marie des Bois, la dernière sorcière du Bourbonnais, nous a quittés le jour même de son anniversaire alors que son astre, la lune, était à son apogée. La voilà en route pour les terres de l’éternelle jeunesse et aussi revêche que puisse être le cocher qui mène la barque à destination, il y a fort à parier qu’elle lui a déjà arraché un sourire par l’une des facéties dont elle avait le secret.
Femme singulière, elle rendait un culte à la pluie, au froid, aux sapins et en tirait une joie de vivre inextinguible. Feu follet incarné, c’est ainsi que nous nous souvenons d’elle. Loquace aussi et ce monde désenchanté, hanté par nos si ternes « semblables », faisait souvent les frais de son ironie mordante. C’est que rien n’échappait à ses yeux verts où brulait intacte la flamme de la plus longue mémoire.
Glaneuse, jardinière, amoureuse de la chasse et de la nature, il n’y avait pire insulte pour elle qu’écolo… ah les faquins, les tristes, les peine-à-jouir ! Elle qui n’aimait rien tant que l’humus, l’onde fraîche, les sous-bois, le vent, elle ne pouvait souffrir ces hommes soja asexués. S’ils étaient restés à leur place encore, chétifs et prostrés derrière leur écran, mais voilà qu’ils avaient en tête de prendre le pouvoir et de lui apprendre à elle ce qu’était le sauvage, de lui interdire les feux de cheminée ou la viande au nom de je ne sais quelle faribole pseudo-scientiste dont sont friands les maîtres de ce monde pour mieux nous cornaquer vers leur enfer aseptisé…
De pleine terre, son œuvre témoigne de sa différence et de sa vision irréconciliable avec ces imposteurs. Elle a rêvé, expérimenté et vécu chacun de ses mots. Il en reste une dizaine d’ouvrages illustrés par son compagnon de toujours Joël Bernabel et traitant de ses thèmes de prédilection tels que la Forêt, Noël, les Gaulois, les Runes et bien sûr… les Sorcières !
Tu nous manqueras Marie, mais nous savons que tu reviendras nous voir à la Samain prochaine. Nous rirons encore une fois avec toi sous la lumière de Séléné au son de la guitare et de la cornemuse, vouant aux gémonies les modernes Savonarole… les curés polonais… les lampadaires… et trinquant aux Dieux… et à la grande Déesse !
Bernard Lenfant
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