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Un immigré enceint peut-il faire du karting en prison pour lutter contre le réchauffement climatique ? C’est la question que je me pose à la minute où j’écris ces lignes. Une question fondamentale me direz-vous. Qui résume en partie (mais pas que) l’effondrement quotidien, d’un système à bout de souffle, sans plus aucun repère.

De quoi parle-t-on récemment ? De détenus, dont un condamné pour viol et un autre pour meurtre, à qui la République française, avec vos impôts, a mis à disposition des kartings pour pouvoir s’occuper en prison le temps d’un Koh Lanta pénitentiaire. Fascinant. Dans la même semaine, le planning familial, défendu par le Gouvernement via la ministre de l’égalité entre les femmes et les hommes, trouve scandaleux et « d’extrême droite » que des gens fassent observer qu’il est de fort mauvais goût (pour être gentil) d’utiliser encore une fois l’argent public pour nous expliquer, à nous et nos enfants, qu’un homme pourrait être « enceint », d’un bébé.

Tout cela pourrait être risible. Risible seulement si ces personnes – puisqu’ils appartiennent tous de près ou de loin aux mêmes réseaux d’influence politique et idéologiques – ne faisaient pas par ailleurs la pluie et le beau temps dans notre société, ne possédaient pas les plus importants temps de parole dans les médias, n’avaient pas le pouvoir de gérer l’argent public et de le distribuer comme bon leur semble, ne contrôlaient pas finalement notre système. Risible si, comme à une certaine époque, elles étaient cantonnées à un rôle de bouffon public pour certains, ou, au pire, enfermées dans des asiles psychiatriques pour pouvoir y exprimer toute la journée leur talents, et y débattre en non mixité éventuellement, des idées sorties de leur cerveau au sein duquel il semblerait qu’il n y ait pas la lumière à tous les étages.

 

Mais malheureusement, ce n’est pas risible.

Car ceux qui applaudissent, défendent ou organisent les sauteries de karting dans une prison, sont de la même idéologie, de la même trempe, que ceux qui remettent des criminels en liberté en se cachant derrière « le manque de moyen » ou « l’éternelle deuxième chance ». Ceux qui exigent, sous peine capitale de « transophobie » que l’ensemble de la société s’agenouille devant la nouvelle religion LGBT dont il fallait initialement simplement « reconnaitre le droit d’exister » et dont il faudrait aujourd’hui accepter qu’elle pénètre dans nos écoles, dans les cerveaux de nos enfants, dans le monde de l’entreprise, du cinéma, de la culture, du sport, et donc de la vie de la cité, sont aujourd’hui absolument partout aux manettes.

Ce sont les mêmes, les mêmes, qui vous imposent l’ouverture des frontières, le laxisme migratoire, le laxisme sécuritaire, le « droit inconditionnel » à pouvoir être partout chez soi, à posséder un logement sur une terre où vous n’avez pas été invité, à avorter le plus tard possible au nom du « droit des femmes à disposer de leur corps partout et tout le temps ». Ce sont les mêmes qui depuis des décennies, ont semé les germes d’une société totalement mortifère, en abandonnant progressivement leur propre peuple, au profit de toutes les lubies du moment imposées notamment par les universités gauchistes américaines et le monde anglo-saxon.

Pendant ce temps, les Urgences ferment. Les lits dans les hôpitaux ferment. Les salaires stagnent. Les entreprises peinent. Les « faits divers » tous aussi glauques les uns que les autres explosent, partout. Les salariés, les travailleurs, les petits entrepreneurs, les gens de « la vraie vie » d’une certaine façon, subissent, de plein fouet, la crise que ces furieux ont fabriqué de toute pièce. Les prix flambent. « C’est la faute à la Russie » disent ceux qui ont organisé la pénurie énergétique  pour se dédouaner du massacre. Et ces derniers de vous montrer du doigt le « péril climatique », autre quasi religion permettant là encore, de noyer le poisson (mais pas le poison) qui ronge nos sociétés.

Vous ne parvenez plus à boucler les fins de mois, vous ne savez pas comment vous allez vous chauffer cet hiver, et nourrir les vôtres. Votre fille vient de se faire violer par un homme à qui l’Etat amène un karting dans la cour de la prison où il purge sa peine. Votre fils ne trouve pas de logement étudiant pour ses études. Vous ne trouvez pas le moindre dentiste, dermatologue, cardiologue, pour vos soins courants ou urgents. Votre niveau de vie baisse à mesure que la sécurité qu’est censée vous assurer l’Etat s’effondre. On vous traite quasiment d’ordure à longueur de journée parce que vous auriez « mal voté » ou pas voté du tout pour prolonger la vie artificielle d’un système républicain à bout de souffle.

Et ces salopards osent vous parler d’un « péril climatique » qui serait le plus important des combats ? Ils osent vous demander de verser des impôts, charges, taxes, pour qu’on vienne expliquer à vos enfants qu’il est tout à fait normal de vouloir éventuellement devenir une femme lorsque l’on est un homme ? Et ils vous font sans rougir la leçon sur votre comportement d’égoïste colonialiste qui éventuellement, s’inquiéterait que son pays, sa terre ressemble de moins en moins, ethniquement, à celui que ses ancêtres ont façonné ? Et ils veulent en plus contrôler vos déplacements, vos vaccins, votre santé, l’instruction de vos enfants, ce que vous mangez, buvez, consommez ? Ils voudraient, pour certains, aller jusqu’à vous interdire de faire l’école à la maison à vos enfants, de posséder une piscine dans votre jardin, d’arroser votre potager ? Ils voudraient faire de vous des criminels de la pensée, des marginaux, alors que ce sont eux, précisément, les marginaux, les fossoyeurs, les destructeurs au regard de notre longue mémoire civilisationnelle.

Alors plutôt que de répondre à la question de savoir si un immigré enceint peut vraiment faire du karting en prison pour lutter contre le réchauffement climatique, interrogez vous plutôt : Pensez-vous vraiment que ces gens là, tout là haut, dans les hautes sphères politiques, médiatiques, économiques vous veulent vraiment du bien ?

Poser la question, c’est déjà y répondre. Il va donc falloir collectivement s’habituer à faire sans eux, et loin d’eux. Par et pour nous-mêmes.

Julien Dir

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Source : Breizh-info.com - 25 août 2022.

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