« Le Canard Enchaîné n’investit jamais en enquêtes mais repose sur la délation de sources anonymes. D’où sa rentabilité. La moitié de ses informations sont falsifiées ou imaginaires — j’en ai moi-même été victime.
Cette publication, dont la diffamation est la raison de vivre, n’est jamais poursuivie en justice. C’est normal : tous les camps ont besoin de lui. De même que tout le monde a besoin de poubelles pour jeter ses ordures ».
Guillaume Faye, écrivain et journaliste.