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Le 24 septembre 2021, le gouvernement canadien, avec le feu vert des États-Unis, libère la directrice financière de Huawei, qui est aussi la fille du fondateur du géant chinois des Télécoms.

Deux heures plus tard, le gouvernement chinois remet en liberté Michael Kovrig et Michael Spavor, 2 canadiens incarcérés en Chine pour espionnage.

L’accord, qui a permis à Meng Wanzhou de revenir en Chine, met un terme à une saga judiciaire de trois ans qui a vu Huawei blacklisté en 2019 par les États Unis qui interdit l’exportation de ses produits sur le sol américain.

Le Royaume-Uni, la Suède, l’Australie, le Japon, Israël, puis la France, l’Inde et de nombreux autres pays suivront le chemin tracé par les américains. Ce qui était hier encore le grand fabricant chinois de smartphones prendra la queue du peloton des constructeurs internationaux, loin derrière Apple, Samsung et même, le constructeur à bas coût Xiaomi.

Ces exemples illustrent une réalité cynique : depuis le milieu des années 1990, les États-Unis, sous prétexte de punir les États qui ne respectent pas les droits de l'homme ou qui soutiennent le terrorisme, impose leur loi partout dans le monde.

 

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