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24/04/2020 – 19h00 Montpellier (Lengadoc Info) –Après le confinement d’immigrés clandestins mineurs à Palavas et Montpellier, le président de l’Hérault a annoncé que quatre nouveaux centres allaient ouvrir dans le département.
Quatre nouveaux centres d’accueil pour clandestins
Lors de la séance publique du Conseil Départemental de l’Hérault qui a eu lieu ce vendredi matin, Kleber Mesquida (PS) a fait le point sur l’engagement de la collectivité locale dans la gestion du confinement des mineurs non accompagnés (MNA, ex-mineurs isolés étrangers).
Le président du département est revenu sur l’installation d’environ cent cinquante de ces jeunes clandestins dans un centre de vacances à Palavas (réquisitionné par le préfet) ainsi que dans un hôtel de Montpellier. Mais Kleber Mesquida a également annoncé qu’il y aurait plusieurs autres initiatives de ce genre dans le département :
« Trois autres opérations sont à venir, une quatrième même, sur des communes du Nord-Ouest et du Nord de Montpellier, et puis dans le Biterrois ».
Les Mineurs Non Accompagnés, un sujet tabou ?
Le sujet des mineurs clandestins est très sensible dans le département, et notamment à Montpellier, en raison de l’insécurité que font régner certains de ces MNA. Même une partie de la gauche n’hésite pas à pointer du doigt les responsabilités du Conseil Départemental en charge de l’accueil et de l’hébergement de ces clandestins.
De son côté, Kleber Mesquida rejette la responsabilité sur l’Etat et le préfet :
« […] sur une des communes de la Métropole, il y a eu une pétition qui a été lancée, et le préfet a vertement rappelé que, quand il réquisitionnait, il n’y avait pas lieu de contester parce que c’est de l’intérêt public. Donc je ne donne pas les lieux précis, c’est le préfet qui prendra les arrêtés de réquisition. »
Un sujet qui deviendrait donc tabou, pour empêcher les oppositions mieux vaut éviter de donner les noms des communes… ni les montants attribués par le département ! C’est en tout ce qu’a pu découvrir le conseiller départemental Franck Manogil (groupe Défendre l’Hérault). Joint par Lengadoc Info il y a quelques jours pour un article sur le coût du confinement des MNA, l’élu d’opposition nous a fait parvenir un document du Département qui précisait ces coûts, document que nous avions alors publié :

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Nidhal Tarhouni a violé Jeanne (prénom modifié) dans la nuit du 8 octobre 2017, ont estimé les six jurés et les trois magistrats qui composaient la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Ils l’ont condamné, vendredi 6 mars, à quinze ans de prison, la peine maximale prévue pour les viols. Le caractère homophobe de l’agression n’a pas été retenu.
Considérant que le prévenu « savait très bien pourquoi elle se refusait : parce qu’elle était lesbienne », l’avocate générale Maylis de Roeck avait demandé au jury d’« avoir le courage de mettre des mots sur les choses » : « 4 % des femmes hétérosexuelles disent avoir été victimes de viol, contre 10 % des femmes lesbiennes. On ne peut pas faire semblant de ne pas comprendre. »
Ce 8 octobre 2017, deux inconnus se rencontrent place de la République, à Paris. Il est 3 heures et demie. Un jeune homme qui dit se prénommer Karim aborde Jeanne, qui est avec l’une de ses amies. Ils passent quelques heures dehors. Karim et Jeanne se plaisent. « Il met son bras autour de moi et je lui dis que je suis lesbienne, a raconté Jeanne, 34 ans, au premier jour du procès. Il remet son bras. Je pose ma tête, il y a quelque chose en moi qui lâche, je me sens en sécurité. »
« Je me souviens de la douleur »
Cette nuit-là, ils rentrent ensemble chez la jeune femme à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Jeanne répète ce qu’elle a maintenu tout au long de l’enquête : elle a bien envisagé d’avoir une relation sexuelle avec Karim. Mais après des tentatives douloureuses, elle lui demande d’arrêter. Jeanne voit alors le regard de l’homme changer : « Ah, tu kiffes les meufs, je vais te faire kiffer. » Il l’étrangle. Le viol commence. « Les viols », relève Christophe Petiteau, le président de la cour. Des pénétrations digitales, péniennes, anales ; des fellations ; des coups. « Je me souviens de la douleur (…) Je me suis dit que j’allais mourir de cette douleur », a décrit Jeanne, qui tente trois fois de s’échapper. En partant, l’homme lui dérobe une chevalière et sa carte bancaire.
Les faits ont été commis entre 6 h 35 et 8 h 10. Une heure et demie. Le légiste relèvera de « très nombreuses plaies sur l’ensemble du corps », « une perforation du tympan », une « plaie sanguinolente » au niveau de la vulve et des fissures anales : vingt jours d’incapacité totale de travail.
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