Un plombier de 26 ans soupçonné d'avoir violé en novembre 2017 à Rambouillet une jeune fille de 13 ans souffrant de dyslexie, comparait ce jeudi devant la cour d'assises des Yvelines.
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Trois hommes de nationalité soudanaise, dont l'assaillant présumé, ont été placés en garde à vue dans l'enquête sur l'attaque au couteau perpétrée le 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère (Drôme), qui a fait deux morts. Trois hommes de nationalité soudanaise sont actuellement en garde à vue dans l'enquête sur l'attaque meurtrière au couteau perpétrée le 4 avril à Romans-sur-Isère dans la Drôme. Outre Abdallah A.-O., l'auteur présumé de l'attaque né en 1987 et réfugié en France depuis juin 2017, et un deuxième homme présenté comme «une de ses connaissances», une troisième garde à vue «depuis 19h20 hier [4 avril] soir» est menée à l'encontre d'«un jeune Soudanais qui résidait dans le même foyer, là où résidait le mis en cause», a indiqué le PNAT à l'agence de presse.
Enquête pour «assassinats en relation avec une entreprise terroriste» Deux personnes sont mortes et cinq autres ont été blessées dans cette attaque au couteau en pleine période de confinement. Le Parquet national antiterroriste (PNAT) a annoncé en début de soirée du 4 avril ouvrir une enquête, notamment pour «assassinats en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Les premiers éléments de l'enquête sur l'auteur présumé de l'attaque, Abdallah A.-O., «ont mis en évidence un parcours meurtrier déterminé de nature à troubler gravement l'ordre public par l'intimidation ou la terreur», selon le PNAT. Celui-ci ajoute que lors d'une perquisition à son domicile, ont été retrouvés «des documents manuscrits à connotation religieuse dans lesquels l’auteur des lignes se plaint notamment de vivre dans un pays de mécréants», «a priori» écrits par lui.
L'assaillant était «aigri» à cause du confinement, selon des témoins (sic)
L'individu a été interpellé sans résistance très rapidement après les faits par l'une des nombreuses patrouilles de police chargées de faire respecter le confinement. «Il se trouvait à genoux sur un trottoir, priant en langue arabe», d'après le PNAT. Des témoins ont rapporté aux enquêteurs, selon une source citée par l'AFP, que «depuis quelques jours, il ne se sentait pas bien à cause du confinement» lié à l'épidémie de coronavirus. «Il était assez aigri de la situation», selon ces témoignages concordants rapportés de même source. Cette attaque intervient au moment où la France vit sous une constante menace terroriste depuis la vague d'attentats djihadistes sans précédent amorcée en 2015.
RT France 5 avr. 2020
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Parce qu'il circulait à vélo sans éclairage, ce Cavaillonnais de 22 ans, de nationalité marocaine, a été interpellé par la police nationale dimanche soir vers 21h45 au niveau de l'avenue Gabriel Péri. L'affaire aurait pu se résumer à un simple PV si le contrevenant n'ayant pas sur lui son attestation dérogatoire de déplacement, et mécontent d'avoir été contrôlé, n'avait pas craché sur les forces de l'ordre.
Présenté à un magistrat, hier, il a été jugé pour ces faits de rébellion et de violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, et condamné à 12 mois de prison, dont 8 ferme. Il a été écroué à la maison d'arrêt du Pontet à l'issue de son audition.
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Estimant que les informations pourraient être «trompeuses si elles étaient rendues publiques et utilisées hors contexte», le gouvernement a britannique a refusé de publier, pour le moment, les résultats de son enquête sur des gangs de violeurs. En juillet 2018, face aux scandales à répétition d'abus sexuels sur mineurs qui sont le fait de gangs qui sévissent depuis des années dans plusieurs villes britanniques, le ministre de l'Intérieur du royaume Sajid Javid avait ordonné l'ouverture d'une enquête. Son but : définir les «caractéristiques distinctives» des auteurs afin de comprendre pourquoi les hommes reconnus coupables de ces crimes sexuels étaient «disproportionnellement d'origine pakistanaise» et s'il y avait des «raisons culturelles» à cela.
Ne souhaitant pas laisser les «sensibilités culturelles ou politiques» entraver la résolution d'un problème qui ne cesse de prendre de l'ampleur – près de 19 000 victimes mineures ont été répertoriées sur la seule année 2018-2019 selon les données officielles – Sajid Javid n'avait donc pas hésité à mettre les pieds dans le plat d'un sujet particulièrement sensible Outre-manche. Mais depuis, le ministre a changé de poste, passant aux ministère des Finances dont il vient de démissionner, et le gouvernement n'a fait aucune annonce quant à cette enquête. Devant ce manque de communication, le journal The Independent, a déclenché une démarche légale pour contraindre le ministère de l'Intérieur à informer le public de l'état de ses recherches.
«Pas dans l'intérêt public de divulguer des informations spécifiques» La réponse à de quoi surprendre : dans un courrier adressé au média, le ministère a expliqué avoir terminé son enquête, mais a estimé qu'il n'était pas légalement tenu de la publier avant d'avoir établi une politique gouvernementale sur le sujet. «L'un des principaux objectifs de l'exemption est de protéger un "espace sûr", nécessaire aux ministres et aux fonctionnaires pour envisager des options politiques en privé, sans risque de divulgation prématurée», est-il ainsi écrit dans le courrier. «De plus, les informations pourraient être trompeuses si elles étaient rendues publiques et utilisées hors contexte», est-il encore ajouté, précisant que les documents contenaient également des informations «sensibles sur le plan opérationnel» et pourraient de ce fait compromettre les enquêtes en cours. «Nous reconnaissons que ce sujet [...] est une question majeure d'intérêt public, mais cela ne signifie pas forcément qu'il est dans l'intérêt public de divulguer des informations spécifiques le concernant», conclut la missive.
RT France 26 févr. 2020
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Cet homme de 26 ans comparaît ce jeudi devant la cour d’assises de Versailles. Il est accusé du viol d’une une jeune fille de 13 ans, en novembre 2017, à Rambouillet, lors d’une intervention.
Ce 20 novembre, il est 17 h 30 lorsque le petit ami de la sœur de la victime prévient la police. Il explique aux fonctionnaires qu'une jeune fille de 13 ans vient d'être violée et qu'il tient l'agresseur dans le bureau de l'entreprise qui employait un sous-traitant pour intervenir sur l'évacuation des sanitaires. Les policiers se déplacent dans les locaux de la société de Rambouillet et arrêtent l'ouvrier suspect qui vient d'intervenir au domicile de l'adolescente.
Les empreintes génétiques sont celles du suspect
Cette enfant qui accuse un léger retard scolaire raconte qu'elle est rentrée du collège en milieu d'après-midi. Un ouvrier barbu et aux cheveux longs lui a demandé de venir voir le résultat des travaux dans les toilettes avant de verrouiller la porte et de commencer à la déshabiller. Il lui a fait subir des attouchements et l'a violée dans le salon. Avant de partir, son agresseur lui a donné un billet de 20 euros et deux pièces d'un euro.
Lors de ses différents récits, l'adolescente en état de choc a eu du mal à verbaliser cette expérience. L'expertise médicale n'avait révélé aucune lésion, mais le médecin avait estimé que les déclarations de la victime étaient crédibles et en accord avec ses constatations sur le corps de la jeune fille. Les résultats du laboratoire confirmeront que les prélèvements d'empreinte génétique correspondaient bien à l'identité du suspect. La victime souffre encore aujourd'hui d'un stress post-traumatique qui se manifeste par des angoisses.
Déjà impliqué dans une affaire d'agression sexuelle en 2010
Arrivé du Pakistan à l'âge de 16 ans, le suspect, lui, ne parle pas le français. Il a un temps travaillé dans la restauration avant de trouver cet emploi de plombier. Il a d'abord expliqué n'avoir jamais eu de rapports sexuels de sa vie car sa culture les proscrit hors de liens du mariage.
L'homme a déjà été soupçonné d'avoir commis deux agressions sexuelles en 2010 à Argenteuil (Val-d'Oise) sur deux femmes qu'il avait suivies dans la rue alors qu'il était âgé de 16 ans. Mais il a été relaxé six ans plus tard par le tribunal pour enfants.
Interrogé par la police sur l'affaire de Rambouillet, le plombier a donc nié en bloc dans un premier temps, avant d'adopter la ligne de défense qu'il maintiendra durant toute l'instruction. Il avoue avoir eu un rapport sexuel avec la victime mais soutien que c'est elle qui l'a « aguiché » puis qui lui a demandé de l'argent, affirmant qu'elle l'aurait même « remercié ». « Nous sommes jeunes et en vie, il n'y a pas de mal à ça », a-t-il même déclaré lors d'une de ses auditions. Le verdict est attendu ce vendredi soir. Le procès devrait se tenir à huis-clos, à la demande de la partie civile.
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