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Le récit précis et détaillé de l'avènement de la République d'Irlande, il y a un siècle, des prémices de la lutte nationaliste, en 1900, à la guerre civile achevée en 1923.
Quand exactement est née l'Irlande indépendante ? Le 11 juillet 1921, quand la trêve concédée par la Grande-Bretagne met fin à la guerre d'indépendance menée par l'Armée républicaine irlandaise (IRA) ? Le 6 décembre 1922, quand le traité anglo-irlandais, négocié de part et d'autre par Michael Collins et Arthur Griffith, face à Lloyd George et Winston Churchill, aboutit à la proclamation de l'État libre d'Irlande, réunissant les vingt-six comtés du Sud, avec Dublin pour capitale, tandis que six comtés de l'Ulster restent dans le giron britannique ? Ou le 24 mai 1923, quand la guerre civile entre le jeune gouvernement indépendant et les partisans d'une véritable souveraineté, emmenés par Éamon de Valera, prend fin après onze mois d'affrontements ?
Ce débat illustre toute la complexité d'un combat national forgé dans le premier quart du XXe siècle face à une domination britannique de nature coloniale, et que ce documentaire très riche parvient à retracer en détail sans perdre le spectateur.
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La République d'Afrique du Sud, comme on l'appelle, avait quitté le Commonwealth britannique en 1949 et n'a été réadmise qu'en 1994, après la disparition de l'objet du litige avec le Royaume-Uni, c'est-à-dire après le démantèlement de la législation sur l'apartheid.
C'est la composante boer de la communauté européenne, installée au Cap de Bonne Espérance au 17ème siècle qui, pendant les guerres napoléoniennes (1797), fut repoussée à l'intérieur des terres par les Britanniques et qui a créé au 19ème siècle les deux fières républiques indépendantes du Transvaal et de l'Orange.
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Jean Guilaine, membre de l'Institut, professeur émérite au Collège de France (chaire « Civilisations de l’Europe au Néolithique et à l’âge du Bronze »), nous guide sur les sites des dolmens des Fades et de Saint-Eugène, dans l'Aude.
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José Antonio et le Fascisme
Nous allons essayer, dans un but de rigueur historique, d'éviter au maximum tout jugement de valeur (qui pourrait fausser l'appréciation du lecteur) en condensant, dans ce court article, les analogies et les ressemblances flagrantes qui ont pu exister entre le Chef de la Phalange et le phénomène fasciste, en tant que théorie politique. La compilation de documents et de témoignages qui ont été choisis pour l'élaboration de ce travail et que nous apportons ne doit pas être considérée de façon exhaustive. Ce sont de simples faits qui livrent une série d'éléments de jugement, d'où chaque lecteur pourra, du fait de leur objectivité, tirer ses propres conclusions.
Lire la suite : L’ESPAGNE ET LE FASCISME par Francisco GIMENEZ
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Reportage à Tokyo sur l'écrivain et patriote, auteur du Pavillon d'or par Tiziano Terzani
Nous publions le reportage effectué dans la capitale du Japon par l'écrivain Tiziano Terzani, à la recherche de la mémoire de l'écrivain et patriote Yukio Mishima. L'article, publié dans La Repubblica, date de 1985. C'est un document précieux, qui confirme que dans la presse de gauche, à l'époque, il y avait moins de préjugés et moins de conformisme qu'aujourd'hui. (Barbadillo)
TOKYO - Deux têtes coupées sur un tapis sanglant, deux corps éventrés, trois jeunes hommes au garde-à-vous dans d'étranges uniformes jaune-brun et surtout un grand et indicible silence.
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La Lituanie, comme ses nations sœurs baltes, la Lettonie et l’Estonie, est un beau pays dont l’histoire a été très dure et méconnue au cours du siècle dernier. En mai 1940, en vertu du pacte Ribbentrop-Molotov, les pays baltes ont été occupés par l’Union soviétique et annexés un mois plus tard.
Comme dans le reste des territoires occupés par l’URSS, l’appareil répressif soviétique lance une campagne d’élimination des prétendus « opposants politiques » et des milliers de citoyens baltes sont assassinés et déportés.
C’est ainsi que sont nés les premiers mouvements de partisans pour combattre l’occupation, les « frères de la forêt ». Après l’invasion allemande en juin 1941, beaucoup de ces partisans ont rejoint le nouvel occupant pour combattre les Soviétiques, tandis que d’autres sont restés dans les forêts.
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Lorsque Révolte contre le monde moderne (Rivolta contro il mondo moderno) a été publiée pour la première fois en Italie en 1934, le livre est passé presque inaperçu. Non pas qu'il n'ait pas trouvé ses lecteurs, car son auteur, le baron Julius Evola (1898-1974), alors âgé de trente-cinq ans, était déjà suffisamment célèbre dans certains cercles (artistiques, hermétiques, philosophiques et politiques), mais il a été écarté par les autorités locales. Six ans plus tôt, en 1928, au moment même du rapprochement de l'État italien avec l'Église catholique, qui aboutira bien vite à la conclusion des accords du Latran, le baron doit faire face à des attaques indiscriminées tant du côté catholique que du côté du régime - fasciste -, après avoir publié un recueil de ses essais sous le titre Imperialismo pagano (Impérialisme païen). Cela n'a cependant fait que contribuer à la notoriété du titre et de l'auteur. Cette fois, donc, les adversaires d'Evola ont décidé de passer son œuvre plutôt sous silence...
Lire la suite : L'histoire de « Révolte contre le monde moderne », le livre-culte de Julius Evola
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