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Depuis quelques jours, la ville de Callac, dans les Côtes d’Armor, est au centre de l’actualité médiatique du fait du projet Horizon, ce projet fou né dans le cerveau de la riche famille Cohen qui a fait fortune dans le vêtement pour enfants, et qui n’a jamais caché son appétence pour les migrants, la mère de famille ayant elle-même accueilli un africain chez elle.

Les contestations locales sont nombreuses, mais les élus foncent, tête baissée, ayant l’impression qu’ils ont tous les droits, tous les pouvoirs d’imposer 50, 100, 200 individus, extra européens, à une commune de 2200 habitants, dans les prochaines années.

Au niveau national, Emmanuel Macron a lui-même déclaré vouloir répartir l’immigration, l’étaler dans les campagnes françaises, et exporter tous les maux qui gangrènent les métropoles jusque ceux qui justement ne veulent pas que leurs territoires ressemblent à ces cloaques, demain.

C’est donc à Callac que doit avoir lieu la bataille définitive et triomphale contre l’immigration de peuplements que nous promettent nos dirigeants. On a vu samedi dernier des membres du conseil municipal, de gauche comme de droite, présents à la manifestation antifasciste , ainsi que des maires, une députée, un sénateur, qui n’ont pourtant que le mot républicain à la bouche mais qui ont participé à une manifestation interdite et non déclarée.

Leur statut d’élu leur donne du pouvoir, mais le peuple a lui aussi toute légitimité pour siffler la fin de la fête et leur expliquer que quoi qu’ils feront, ce projet n’aura pas lieu, ne se fera pas. Ils ne veulent pas organiser un référendum ? Alors il faudra manifester, téléphoner, faire grève, mener un combat de sape, de tous les instants, pour qu’ils finissent par craquer, suite à la mobilisation à la fois de la population locale, mais aussi à une mobilisation qui doit être bretonne, française, européenne;

Car ce qui se passe à Callac aujourd’hui concernera demain Quimperlé. Après demain un village dans la Creuse, et ainsi de suite. C’est le Président lui-même qui le dit : il veut mettre des demandeurs d’asile, des réfugiés extra européens, des migrants, partout dans les campagnes pour déconcentrer les villes.

Il se trouvera toujours des collaborateurs dans l’âme pour expliquer que cela va redynamiser le pays, ceux là même qui ne font rien pour les salaires ou contre le massacre du service public dans la ruralité. Il se trouvera toujours des salauds pour embaucher des migrants, mal les payer, et vociférer contre les locaux qui ne voudraient pas travailler. Il se trouvera toujours des élus et des petits arrangements économiques et politiques pour mener à bien des projets qui ne sont pas au service de la population mais d’une petite minorité.

Car enfin, avez vous vu Callac ? Des commerces à l’abandon. Des immeubles vétustes dans le Bourg. Des maisons qui tombent en lambeaux dans tout le canton. Des services publics qui s’amenuisent. Une pauvreté croissante. Des anciens agriculteurs abandonnés. Des jeunes confrontés ici aussi à l’infusion de la drogue venue des métropoles. Un taux d’alcoolisme très important. Des jeunes à qui on ne donne pas envie de croire en l’avenir et de faire des enfants.

Et pour eux, où sont les millions ? Où sont les millions d’euros pour rénover les logements du bourg et permettre aux locaux d’y vivre dignement ? Pourquoi vouloir donner au Guinéen réfugié ou au Malien ce que vous êtes incapables de financer pour l’agriculteur qui ne se verse pas de salaire ou pour le retraité qui vit dans une seule pièce, au fin fond d’un hameau que seuls connaissent les pompiers et l’infirmière ? Pourquoi ne pas construire une piscine municipale ? Un cinéma digne de ce nom ? Pourquoi ne pas financer des lancements d’entreprise dans tout le canton ? Ou la rénovation totale de maisons des plus pauvres des nôtres ?

Chers (mal) élus, vous n’avez pas le monopole de l’humanisme, qui est dans vos bouches un mot qui n’a plus de sens tellement vous le galvaudez obsesssionnellement au profit exclusif de l’autre, du lointain, du différent.

En attendant, que ceux qui lisent cette tribune se mobilisent, et mobilisent leurs réseaux. Callac doit devenir le symbole victorieux de la résistance à l’immigration. La mobilisation ne doit s’arrêter qu’au référendum, et, mieux encore, au retrait de ce projet qui aura, demain, des conséquences en Centre-Bretagne et après-demain, dans tout le pays.

Cela fait des décennies que la population vote de façon croissante et s’exprime ouvertement contre l’immigration. Les décideurs n’en tiennent pas compte ? Il va falloir leur forcer la main, et rapidement.

Julien Dir

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

Source : Breizh-info.com - Le 21 septembre 2022

 

Bien sur, Terre & Peuple demande à tous ses militants locaux, sympatisants et amis de soutenir ardemment la résistance des habitants de Callac contre l'immigration/invasion non européenne favorisée par un gouvernement mondialiste et cosmopolite.

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