La première action de Resistència s’est déroulée le 17 octobre dernier à Sainte Marie la Mer pour dénoncer l’arrivée, et le logement au frais du contribuable, d’immigrés illégaux en provenance de la jungle de Calais. Par un tractage massif nous avions informé la population sur nos inquiétudes via cet accueil imposé depuis Paris et par l’intermédiaire de la préfecture, le porte-flingue de l’Etat jacobin.

Malgré les tours de passe-passe des bien-pensants et de la presse locale – omerta et minimisation des faits- la vérité éclate. Des jeunes Ethiopiens, logés, nourris, blanchis par nos soins et contre notre gré, au CCAS de Sainte Marie la Mer, auraient agressé une équipe du HCR (Haut-Commissariat aux réfugiés). Encore un machin qui finance le grand remplacement. Un agent interprète aurait eu le malheur de ne pas s’exprimer en Oromo, le dialecte de l’ethnie de ces « jeunes », ce motif d’incompréhension aurait déclenché une vie discussion, puis des intentions belliqueuses de la part des faux-réfugiés. Intentions belliqueuses à tel point que les agents du HCR ont dû se réfugier (il s’agit-là de vrai réfugiés pour le coup !) dans un bureau du bâtiment pendant que les illégaux vandalisaient le véhicule du HCR ! Une vingtaine de militaires ont dû intervenir, le sous-préfet a même dû se rendre sur place. Procédure habituelle et manque de fermeté patente : un jeune a été mis en garde-à-vue pendant quelques heures… lamentable.

Citons l’Indépendant du 20/12/16 : Le sous-préfet a discuté avec les mineurs : « Ils se sont excusés et j’ai pu leur expliquer qu’ils ne pourraient plus aller au Royaume-Uni comme ils l’espéraient ; Ils seront pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance ».

Toujours selon l’Indépendant et comme je l’avais dénoncé dans un article en date du 17/9/16, soit avant l’arrivée des immigrés clandestins à Sainte Marie la Mer, neuf d’entre eux avaient déjà rejoint le Royaume –Uni avant les faits de violences énoncés plus haut.

Le triste attentat de Berlin survenu sur un marché de Noël le soir du 19 décembre 2016 n’a échappé à personne. Compte tenu des derniers événements nous sommes en droit de nous interroger sur la sécurité dans notre département. Nous demandons dès à présent que la préfecture des Pyrénées-Orientales rende publiques les informations suivantes : Nombres d’immigrés illégaux présents dans les P.O avec détail de l’âge et du sexe des intéressés, les zones de répartition de ces derniers et évidemment le coût financier de cet accueil forcé supporté par la collectivité.

En second lieu, nous demandons leur expulsion immédiate et sans préavis.

Llorenç Perrié Albanell, président de Resistència

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