Croire que l'on peut combattre l'immigration est étant libéral est une erreur absolue. Croire aussi que l'on peut traiter la question ethnique sans traiter les questions économiques et sociales en est une autre... RF
Pour contrer le déclin de leur population active, un rapport du Fonds monétaire international suggère aux pays développés de recourir à de la main d’œuvre immigrée.
Le Fonds monétaire international (FMI) exhorte les pays développés à "revoir leur politique migratoire". "Bien qu'accueillir des migrants puisse poser des problèmes et susciter potentiellement un revers politique, ceux-ci pourraient aussi être une aubaine pour les pays hôtes", affirme le FMI dans un rapport publié dans la perspective de sa réunion de printemps qui se déroulera la semaine prochaine à Washington (États-Unis).
Selon les économistes œuvrant pour cette institution, même avec des politiques résolument actives pour intégrer davantage au marché de l'emploi les personnes actuellement marginalisées comme les femmes et les personnes âgées, les économies avancées ne pourront lutter contre la contraction continue de la population active liée au vieillissement.
"Le vieillissement de la population pourrait ralentir la croissance"
Selon des estimations des Nations unies, "la population totale va se réduire dans près de la moitié des pays développés d'ici le milieu du siècle". Les travailleurs dans la force de l'âge vont devoir soutenir "en quelques décennies" près du double des personnes âgées aujourd'hui, explique le FMI dans un de "ses chapitres" analysant les tendances de la population active.
"À moins que plus de gens ne participent au marché du travail, le vieillissement de la population pourrait ralentir la croissance des économies avancées et dans de nombreux cas, compromettre la viabilité de leurs systèmes de sécurité sociale", indique le rapport. Le Fonds monétaire international souligne que l'immigration "peut contribuer à des gains à long terme telle que la croissance ou la productivité".
L'institution, présidée par Christine Lagarde, exhorte ainsi à "repenser les politiques migratoires pour dynamiser la main d'oeuvre disponible dans les économies avancées". Et, elle prévient: "des politiques d'immigration plus restrictives exacerberaient de manière significative l'effet négatif du vieillissement de la population sur la participation" au marché du travail.
Plan US d’un faux attentat chimique en Syrie pour justifier un bombardement…
Cet article a été publié le 20 mars sur son site d'origine, et il se produit en ce moment même !
Par Federico Pierraccini – Le 20 mars 2018 – Source Stategic Culture
Les événements en Syrie ressemblent de plus en plus à une confrontation directe entre grandes puissances plutôt qu’à une guerre par procuration. Les paroles de M. Lavrov, prononcées il y a quelques jours, révèlent la phase critique des relations internationales que le monde traverse, avec un conflit potentiellement dévastateur prêt à s’enflammer dans la région du Moyen-Orient.
Un avertissement alarmant de Sergueï Lavrov et du chef de l’état-major général russe, Valery Gerasimov, a été annoncé par l’intermédiaire de Russia Today (RT) et de plusieurs médias russes. Le contenu est explosif et mérite la plus large diffusion possible. Gerasimov a affirmé que Moscou avait « des informations fiables selon lesquelles les combattants [djihadistes] se préparent à mettre en scène l’utilisation par les troupes gouvernementales d’armes chimiques contre la population civile ». Il a allégué que les États-Unis avaient l’intention d’accuser les troupes d’Assad d’utiliser des armes chimiques contre des civils, puis de « bombarder » Damas. Gerasimov a averti que la Russie « engagerait des mesures de rétorsion » si les États-Unis ciblaient des zones où ses forces armées sont situées dans la capitale syrienne. « Des conseillers militaires russes, des représentants du Centre pour la réconciliation, et des membres de la police militairese trouvent actuellement dans la capitale syrienne » a indiqué M. Gerasimov, ajoutant que les forces armées russes réagiraient, en cas de danger pour la vie des militaires russes, à la fois contre les « missiles » et leurs « lanceurs ». Quelques heures plus tôt, Lavrov a critiqué les propos de l’émissaire américain à l’ONU, Nikki Haley, au sujet de la disposition de Washington à « bombarder Damas et même le palais présidentiel de Bachar Assad, indépendamment de la présence des représentants russes là-bas ». « C’est une déclaration absolument irresponsable » a ajouté le diplomate russe.
Les mots de Gerasimov sont encore plus graves, puisqu’il explique comment les États-Unis et leurs alliés préparent le terrain pour justifier une attaque contre la Syrie. Selon des informations, des terroristes stationnés à Al-Tanf – une base militaire américaine illégale en Syrie – ont reçu vingt tonnes de chlore gazeux et des détonateurs, camouflés en cartouches de cigarettes, pour attaquer dans une zone densément peuplée de civils sous le contrôle des terroristes. Ce qui se passerait alors est déjà évident, avec les Casques blancs – i.e. al-Qaïda – et les médias usuels prêts à diffuser les images des victimes de l’attaque, abusant les sentiments des spectateurs occidentaux ignorants de la conspiration en cours. Les efforts pour cibler la Russie ont déjà atteint les niveaux d’alerte les plus élevés, avec l’empoisonnement sous faux-drapeau de l’espion russe au Royaume-Uni. Il semble que les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne déploient des efforts considérables pour provoquer une confrontation militaire avec Moscou.
Comment pouvons-nous interpréter autrement les menaces de Macron de frapper Damas, ainsi que ses sinistres conseils aux journalistes étrangers de ne pas aller à Damas dans les prochains jours et, pour ceux qui sont déjà là-bas, de quitter la capitale immédiatement ? Il y a même eu des bavardages dans les cercles diplomatiques qui suggèrent que le personnel de l’ONU quitte Damas. Cela pourrait être une guerre psychologique ou un prélude à la guerre. Avec des enjeux si élevés, nous ne pouvons pas nous permettre d’ignorer les détails, même s’il s’agit de désinformation. L’attaque américaine semble imminente, avec des signes croissants de mouvements de navires de guerre américains et russes en Méditerranée en formation d’attaque.
Les représentants militaires russes ont réitéré qu’en cas d’attaque, ils répondront en frappant à la fois les missiles et les navires à partir desquels les missiles sont lancés. Les choses deviennent très dangereuses et le risque d’une confrontation directe entre les États-Unis et la Fédération de Russie augmente à chaque heure qui passe. Le transfert de nombreux avions américains d’Incirlik, en Turquie, à Al-Azrak, en Jordanie, est une autre indication de la préparation d’une attaque, puisque les forces déplacées en Jordanie sont proches de la base d’Al-Tanf. La stratégie proposée pourrait impliquer une attaque contre la ville de Daraa, dans le but de sécuriser les frontières entre la Syrie, la Jordanie et Israël.
Les avertissements de Lavrov et Gerasimov semblent sans précédent, étant donné qu’ils détaillent un plan déjà en cours, manifestement approuvé aux plus hauts niveaux et visant à provoquer et à justifier une attaque contre la Syrie, attaque qui engloberait les forces russes en Syrie. Les tensions continuent de croître, suite à la destruction, par la Russie, d’un drone par deux missiles sol-air lancés depuis sa base aérienne de Hmeimim. Moscou a même déployé en Méditerranée la frégate Admiral Grigorovich Admiral Essen et la frégate anti-sous-marine de classe Krivak II Pytivyy. Les deux sont préparées pour des opérations anti-navires et anti-sous-marins. Des sources affirment que ce déploiement a été planifié il y a quelque temps et fait partie d’une routine de la marine russe. Mais pendant un moment si délicat, il vaut la peine de se concentrer sur les détails. Sans recourir à un alarmisme excessif, si Lavrov a déclaré que « les mouvements des navires de guerre des États-Unis et de leurs alliés en Méditerranée semblent compatibles avec la stratégie d’utiliser cette attaque chimique pour justifier une frappe contre l’armée arabe syrienne et les installations gouvernementales » il est alors raisonnable de spéculer sur la question de savoir si les navires russes se déplacent dans la zone pour contrer toute provocation.
Il y a deux défauts fondamentaux dans le raisonnement des décideurs politiques et de l’establishment militaire américains. Ils sont convaincus qu’une démonstration de force américaine (impliquant un grand nombre de missiles de croisière lancés contre la Syrie par le biais d’une participation significative de porte-avions et de bombardiers) étourdirait la Russie en la paralysant. De plus, les généraux militaires américains sont convaincus que la Syrie et la Russie n’ont pas la capacité de se défendre pendant une longue période. Ils semblent se leurrer avec leur propre propagande. Comme leurs collègues israéliens l’ont déjà appris, une telle hypothèse est erronée. Alors que l’idée qu’une puissance de feu élevée pourrait rencontrer un certain succès, la possibilité d’une riposte des forces syriennes et russes demeure. Et cette possibilité ne semble pas avoir été suffisamment prise en compte par les États-Unis et leurs alliés.
Comment l’armée américaine et la présidence de Trump réagiraient-elles si un navire de guerre américain était coulé par des missiles anti-navires ? Cela ne ferait que démontrer la vulnérabilité des forces navales américaines face à de telles armes avancées. Cela représenterait un choc énorme pour l’armée américaine, probablement le plus grand choc depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Que feraient Trump et les généraux en charge ? Ils réagiraient en bombardant davantage les forces russes, s’offrant eux-mêmes à une réaction russe dévastatrice. Le conflit pourrait s’intensifier en l’espace de quelques minutes, menant à une situation où il n’y aurait pas de gagnant possible.
Je fais un raisonnement normal en considérant que la responsabilité de l’annihilation totale sera imputée aux forces spéciales américaines qui ont livré vingt tonnes de chlore gazeux à des terroristes d’al-Qaïda en Syrie en ordonnant l’exécution d’une attaque sous faux-drapeau dans le but de blâmer Damas et Moscou. Si nous relions cet événement à ce qui se passe actuellement au Royaume-Uni, et à l’hystérie aux États-Unis entourant le prétendu piratage russe pendant les élections américaines, nous pouvons comprendre à quel point les relations internationales se sont détériorées. Cette situation rappelle l’Ukraine en 2015. Les forces ukrainiennes ont subi des défaites répétées aux mains de la résistance du Donbass, se laissant encercler par milliers dans différents chaudrons. Au sein du siège de l’OTAN à Bruxelles pendant cette période, il y a eu des discussions ouvertes sur l’envoi d’un contingent pour soutenir les troupes ukrainiennes. Le plan n’a toutefois jamais été réalisé, étant donné la possibilité d’une confrontation directe en Ukraine entre la Fédération de Russie et l’OTAN.
Ces derniers mois, la possibilité d’une guerre dans la péninsule coréenne a également été évoquée, et peut-être en même temps évitée par les conséquences imprévisibles, tant pour Séoul que pour les forces américaines dans la région.
En Syrie, l’approche de Washington et de ses émissaires diplomatiques et militaires semble plus imprudente et moins liée à une chaîne de commandement où la responsabilité revient au président américain. Il semble que l’État profond des États-Unis en Syrie ait un contrôle plus grand et plus occulte sur les forces américaines, sabotant chaque accord conclu entre Moscou et Washington. Nous l’avons vu pendant la présidence d’Obama, où l’armée de l’air américaine a bombardé les troupes gouvernementales syriennes à Deir ez-Zor seulement quelques heures après un cessez-le-feu entre Lavrov et le secrétaire d’État Kerry.
La grave circonstance que nous décrivons semble être sans précédent, et pourrait aboutir à une confrontation directe entre les puissances nucléaires. Hélas, dans de telles circonstances, nous ne pouvons qu’espérer le meilleur en nous préparant au pire. Nous ne pouvons qu’attendre pour découvrir sur les manchettes des médias grand public la dernière attaque chimique en Syrie. Nous ne pouvons qu’espérer qu’il y a quelqu’un à Washington qui a suffisamment de bon sens pour prendre en compte les conséquences dévastatrices d’une attaque contre Damas et les forces russes dans la région. Jamais auparavant la région n’a été au bord d’une telle explosion comme dans les prochaines heures – en raison des actions typiquement imprudentes des États-Unis.
Federico Pierraccini
Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone
Un homme a cherché à foncer sur la foule au volant de sa voiture, dans la nuit de vendredi à samedi, vers minuit, à Villeurbanne.
Il a fait une première manœuvre en passant une barrière du festival de musique électronique qui se déroulait au Double-mixte sur le campus de la Doua. Ce qui a provoqué un mouvement de panique. Il a été stoppé in extremis par la brigade anticriminalité.
Il a crié des menaces à caractère terroriste.
Un policier a été blessé dans l'intervention. L'homme a été placé en garde à vue.
Ce soir, les camarades de L’écho des Canuts reçoivent en première partie d’émission Mike et Steph qui nous présentent « Le Domaine », projet solidaire et communautaire en Berry.
En seconde partie nous diffusons la conférence de Roberto Fiorini qui était invité par Le Domaine sur la thématique de la « résistance identitaire et l’impératif d’association ». Des échanges nombreux avec la salle prolongent la conférence…
Depuis longtemps, les films – notamment hollywoodiens mais pas seulement – observent un code de bonne conduite politiquement correcte : les méchants ne doivent jamais être des personnes « perçues comme non blanches », comme on dit en novlangue. Mais aujourd’hui, le pouvoir médiatique semble en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains.
Les méchants sont blancs
Depuis longtemps les films hollywoodiens nous montrent que les méchants sont des albo-européens, même si leur nationalité peut varier selon le scénario. Des méchants mafieux siciliens, des méchants albanais [1] qui organisent des réseaux de prostitution et surtout des méchants russes… Tous fachos et suppôts de Poutine ! Comme lorsqu’à la télévision, on nous présente des policiers procédant à une interpellation : le prévenu est toujours de la bonne couleur ! Car les codes hollywoodiens se sont imposés partout en Occident. Les asiatiques ont certes eu leur heure de gloire dans le registre du mal cinématographique : du Docteur No [2] au méchant Thao qui veut voler la belle voiture de Clint Eastwood [3] puisqu’il est bien connu que les gangs hmongs sont très puissants outre-atlantique…. Il y a encore périodiquement aussi des méchants terroristes islamistes au cinéma, mais ils sont heureusement souvent mis hors d’état de nuire par de gentils policiers musulmans [4] ou noirs [5]. Mais aujourd’hui, sur nos écrans, chacun peut constater que les méchants sont pour l’essentiel des « personnes perçues comme blanches ».
Les gentils sont afro-américains
Les afro-américains, par contre, entrent rarement dans la catégorie des méchants. Ils jouent en général des rôles de policiers, de militaires, de savants [6], de prêtres (non pédophiles) ou d’informaticiens dans les productions hollywoodiennes. S’ils commettent des hold-up c’est en général pour se venger des méchants blancs [7], car ce sont toujours de gentils bandits. Ils sont aussi Président des Etats-Unis ce qui, vous en conviendrez, est un gage de gentillesse [8]. Ce stéréotypeapparaît désormais comme la marque de fabrique des productions hollywoodiennes et déteint partout.
Le rôle des lobbies communautaires
Cette situation ne résulte pas du hasard. Elle traduit d’abord la volonté de l’industrie médiatique de séduire aux Etats-Unis le public afro-américain et, sur un plan plus général, de s’adapter à un monde où, demain, 40% de la population mondiale, sera, d’après les prévisions de l’ONU [9], issue du continent africain. Et de s’adapter aussi à une Amérique de moins en moins WASP et de plus en plus multiculturelle. Un phénomène qui se retrouve d’ailleurs dans la propagande publicitaire, qui met désormais systématiquement en scène des couples mixtes ou des métis voire qui vise des créneaux carrément ethniques, mot novlangue pour désigner un segment de cette clientèle « perçue comme non-blanche ». Le stéréotype « méchant blanc/gentil noir » traduit aussi la vigilance des associations de défense communautaires qui veillentau respect de la bonne image cinématographique et télévisuelle des « minorités » et qui n’hésitent pas à engager des procès et des boycotts pour se faire entendre.
Les remakes, expressions de la nouvelle norme politiquement correcte
D’où aussi la propension du cinéma à augmenter la proportion de personnages de couleur incarnant un rôle positif dans le scénario, comme on peut le voir lorsqu’on examine des remakes. Car les remakes correspondent le plus souvent à une réécriture politiquement correcte de l’œuvre initiale. Ainsi par exemple le film américain de fiction apocalyptique Je suis une légende de Françis Lawrence (2007) est un remake du film Le Survivant de Boris Sagal (1971). Mais dans ce remake, le héros est noir (incarné par l’acteur Will Smith) alors que, dans le film original, il est blanc (incarné par l’acteur Charlton Heston). Dans le remake le héros rencontre aussi une femme blanche ; dans le film initial il rencontre une métisse. Dans le remake enfin, les méchants mutants ont la peau blanchâtre alors que dans la version originale ils avaient la peau sombre ! En d’autres termes le starring du film a été systématiquement inversé.
Salauds de blancs !
Cette comparaison permet de mesurer la progression du stéréotype consistant désormais à associer aux albo-européens des caractères systématiquement négatifs. Un stéréotype que bien sûr les bonnes âmes se gardent de dénoncer. Ainsi, par exemple, dans le film de fiction Prometheus de Ridley Scott (2012), les méchants humanoïdes albinos qui veulent détruire la terre, semblent sortis de la statuaire d’Arno Brecker ! Et dans le même film le capitaine du vaisseau spatial qui se sacrifie courageusement pour sauver la terre est… un afro-américain, comme il se doit. Il serait fastidieux de citer les innombrables scénarios, que ce soit sur grand ou petit écran, qui reposent sur ce stéréotype de nature raciste : salauds de blancs, gentils noirs ! Mais ce racisme ne choque évidemment pas les ligues de vertu puisque, par construction, le racisme anti-blanc n’existe pas. Et qu’il véhicule une haine de soi à destination du seul public albo-européen, sommé de gober sans broncher ces stéréotypes masochistes. Les blancs sont méchants et les gentils sont de couleur : une autre façon, finalement, d’affirmer que « l’immigration est une chance pour nous » !
Le Grand Remplacement, c’est aussi dans nos têtes
Mais cela ne suffisait pas ! Car aujourd’hui Hollywood et ses suiveurs sont en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains dans les films à prétention historique. Par exemple dans le film King Arthur de Guy Ritchi (2016), l’acteur noir Djiman Hoansou incarne un chevalier de la Table Ronde, sir Bevedere. Dans la série télévisée Once Upon a Time, c’est Sinqua Walls, un autre acteur noir, qui joue le rôle de Lancelot. Dans le film Robin Hood Origin d’Otto Bathurst, le personnage de Petit Jean sera joué par un acteur afro-américain Jamie Fox. Au théâtre, l’actrice afro-américaine Condola Rashad incarnera Joan Of Arc. Et dans la série de la BBC The Hollow crown, la reine Marguerite d’Anjou est jouée par l’actrice métisse Sophie Okonedo.
On entend déjà les bonnes âmes s’écrier : pourquoi une personne « perçue comme non blanche » n’aurait-elle pas le droit de jouer Lancelot ou Marguerite de Valois ? D’autant que les races humaines n’existent que dans l’esprit tordu des racistes. Mais, curieusement, les mêmes ne supporteraient sans doute pas qu’un acteur albo-européen joue, par exemple, le personnage de Martin Luther King…Comme le footballeur Antoine Griezmann l’a appris à ses dépens, quand il s’est déguisé en basketteur afro-américain ! Car pour le Système médiatique, il ne peut y avoir de réciprocité : le Remplacement n’est autorisé que dans un seul sens. Sinon c’est du racisme, du colonialisme ou de l’appropriation culturelle. Bref, c’est toujours mal quand c’est blanc.
Un casting ridicule ? Non un projet chaotique
A l’évidence ces castings placés sous le signe de la « diversité », comme ces scénarios où les méchants sont invariablement des albo-européens, ne sont pas neutres : ils jettent les bases d’une nouvelle guerre cognitive menée contre les Européens. Une guerre destinée à leur faire croire qu’ils n’existent pas, sinon pour nuire au reste de l’humanité. Une guerre qui s’attaque aux représentations de leur passé donc à leur identité et à leur être. Une guerre qui s’intègre dans le projet chaotique de la Super Classe Mondiale consistant à transformer les Européens en monades, pour mieux les mettre en servitude. Ces castings font certes sourire ceux qui ont encore un peu de culture, car il est douteux qu’on ait désormais le droit d’en rire en Europe de l’Ouest. Mais qu’en sera-t-il demain des petits européens qui auront été essorés par la machine à « éducation inclusive », sevrés de théorie du genre et d’antiracisme obligatoires et lobotomisés à la sous-culture du portable ? Croiront-ils que le roi Arthur était un migrant Erythréen et que Jeanne d’Arc entendait des Negro Spirituals avant d’aller bouter les Russes hors d’Ukraine ? Si c’est le cas, la Super Classe Mondiale qui pilote les écrans aura gagné : ils ne seront plus Européens car ils auront aussi été remplacés dans leur tête.
Michel Geoffroy 18/02/2018
[1] Voir notamment Taken de Pierre Morel (2008) [2] James Bond 007 contre Dr No de Terence Young (1962) [3] Gran Torino (2008) de Clint Eastwood [4] Voir par exemple l’Union Sacrée d’Alexandre Arcady (1989) où les méchants iraniens sont mis hors d’état de nuire par un policier maghrébin et un policier juif [5] Par exemple Couvre Feu d’Edward Zwick (1998) [6] Par exemple, dans 2012 de Roland Emmerich, le gentil physicien est incarné par l’acteur noir Chiwetel Ejiofor [7] Voir par exemple Ocean Eleven de Steven Soderbergh( 2001) [8] Dans 2012 de Roland Emmerich, le Président des Etats-Unis est incarné par l’acteur noir Danny Glover [9] En 2100
Les étiquettes des compléments alimentaires ne sont pas faciles à déchiffrer.
Cela complique les comparaisons entre produits.
J’aimerais vous présenter ici les notions essentielles qui vous garantiront que vous obtiendrez toujours les meilleurs compléments alimentaires.
Substance active et principe actif
Substance active et principe actif sont des synonymes :
Cela désigne le micro-élément identifié comme actif par les chercheurs.
Par exemple, le thé vert est composé de nombreux micro-éléments mais, à ce jour, sa principale substance active reconnue est l’EGCG (épigallocathéchine gallate).
Titrage
Le titrage indique que le fabricant contrôle la proportion de substances actives dans son produit.
Ainsi, un thé vert titré à 15 % d’EGCG signifie que dans 100 g de thé il y aura 15 g de substance active EGCG.
Pour le consommateur, c’est une garantie appréciable.
Si le titrage n’est pas indiqué, vous n’avez aucune certitude sur la présence réelle de principe actif dans votre complément.
Est-ce dangereux si un ingrédient dépasse les ANC ?
Les substances actives comme les vitamines ou les minéraux sont présentées en pourcentage des apports nutritionnels conseillés (ANC).
On observe souvent des ingrédients qui dépassent les 100 % des ANC, parfois 150 %, parfois 300 %.
Est-ce dangereux ?
Cela dépend beaucoup du nutriment en question et de l’état du sujet.
Pour la vitamine D, les autorités françaises conseillent 5 µg [1] et 100 µg pour l’apport maximal toléré [2], c’est-à-dire 2000 % des ANC, soit 20 fois plus.
Mais l’Académie de médecine conseille 50 µg ; et les chercheurs américains ont observé que 100 µg par jour à long terme ne provoquent pas d’effets indésirables [3].
Toutefois, si vous n’avez pas de carences avérées en fer et en cuivre, veillez à ne pas dépasser leurs ANC car ils deviennent oxydants, et donc nuisibles pour la santé.
Totum ou extrait ?
Totum vient du latin « tout ». Cela veut dire que le fabricant a réduit la plante tout entière en poudre avant de l’encapsuler.
L’avantage du totum est qu’il permet de ne pas laisser pour compte d’éventuelles substances actives qui n’auraient pas été encore identifiées par les scientifiques.
Le contraire du « totum » est l’extrait.
Pour réaliser un extrait, il faut broyer la plante puis utiliser un solvant (eau, alcool, ou un mélange des deux appelé « solution hydro-alcoolique ») pour isoler les actifs.
Le liquide est ensuite filtré pour éliminer les résidus de plante.
Puis on fait évaporer le solvant. L’idéal est de réaliser une évaporation sous vide parce qu’elle permet de ne pas trop chauffer les substances actives qui se détériorent à la chaleur [1].
L’avantage de l’extrait est que les substances actives peuvent être concentrées et titrées avec précision.
Forme galénique
La forme galénique désigne la forme du médicament : gélule, comprimé, granulé, cachet, suppositoire, poudre, crème, gel, pommade, lotion, mousse, sirop, gouttes, infusion ou inhalateur [2].
Biodisponibilité
La biodisponibilité mesure la capacité de votre corps à absorber un produit.
Une substance faiblement biodisponible n’aura pas beaucoup d’effet :
Soit parce qu’elle sera décomposée et anéantie par vos enzymes de digestion
Soit parce que votre corps n’est pas équipé pour la décomposer ou l’absorber, et qu’elle terminera dans les toilettes (comme si vous aviez mangé un caillou).
« Excipients », aussi appelés « agents de charge »
Les excipients sont des ingrédients inactifs qui facilitent la prise du complément, sa fabrication ou sa conservation.
Par exemple, ils vont lui donner de la consistance, du poids (de la charge), de la couleur, et du goût (souvent sucré). Ce sont en quelque sorte des « additifs alimentaires ».
Idéalement, les excipients devraient être sélectionnés pour éviter toute interaction avec les substances actives. Ils ne devraient pas être nocifs pour le corps (exemple : le sucre).
Dans la pratique, il n’est pas facile de s’y retrouver entre les excipients acceptables et ceux à éviter.
Liste non exhaustive des excipients couramment utilisés dans les compléments
1. Stéarate de magnésium et acide stéarique
Le stéarate de magnésium est le plus débattu des excipients utilisés actuellement. Les deux camps sont férocement opposés.
L’acide stéarique et le stéarate de magnésium sont des anti-agglomérants naturels utilisés pour lubrifier les ingrédients pendant le processus de fabrication. Grâce à eux, les ingrédients ne restent pas collés aux machines et autres équipements de fabrication. Cela réduit les pertes et le gaspillage de matières premières. Le stéarate de magnésium permet donc de réduire les coûts de fabrication pour pouvoir offrir les compléments à des prix raisonnables.
Aux yeux des agences sanitaires, le stéarate de magnésium est sans danger. Cela explique qu’on le retrouve dans la majorité des compléments (90 %) [4].
La méfiance vis-à-vis du stéarate de magnésium est apparue après la publication d’une étude dans Immunology en 1990 [5]. Les chercheurs ont observé que les souris trempées dans l’acide stéarique (substance proche du stéarate de magnésium) subissent une désactivation de leurs cellules T – ce sont des cellules tueuses essentielles au système immunitaire.
Une autre étude a montré que les rats à qui l’on administrait du stéarate de magnésium à 2,5 g par kg de poids subissaient des effets indésirables : petite perte de poids, augmentation du taux de fer.
Pour la majorité des experts, ces études ne permettent pas de conclure que le stéarate de magnésium est un excipient dangereux [6] :
Parce que l’étude a été menée sur des rongeurs
Parce que l’acide stéarique est un acide gras courant dans la nature. On le retrouve par exemple dans le cacao, la noix de coco, la viande, le poisson, les céréales et les produits laitiers.
Parce qu’une barre de chocolat vous apporte environ 5 g d’acide stéarique [7]. En moyenne, notre alimentation nous apporte entre 5 et 9 g d’acide stéarique par jour (c’est énormément plus que ce qu’on peut avaler avec des compléments alimentaires).
Parce que l’acide stéarique et le stéarate de magnésium ont été utilisés à des doses sans rapport avec celles des compléments : 5 g/kg de poids, c’est 170 g pour un adulte de 70 kg. Dans les compléments alimentaires, il y a quelques grammes de stéarate de magnésium tout au plus. Une gélule contient environ 0,01 à 0,02 g d’acide stéarique.
2. Gélatine pour les gélules
La gélatine est réalisée avec du collagène extrait des os et tissus d’animaux – bœuf, porc ou poisson. Elle est utilisée pour fabriquer les gélules molles (softgels).
Pour les végétariens, il existe néanmoins des gélules de « gélatine végétale ».
3. Lanoline
La lanoline est proche de la cire ou de la vaseline (à base de pétrole). Mais la lanoline, elle, est extraite de la laine de mouton. Les laboratoires l’utilisent comme diluant pour les crèmes et les lotions.
Cependant, la lanoline n’est pas tout à fait un excipient puisqu’elle permet aussi de fabriquer de la vitamine D3.
4. Maltodextrine
La maltodextrine est un sucre réalisé par hydrolyse du blé, du maïs ou de pommes de terre. Il est donc naturel, mais fortement raffiné.
Il est couramment utilisé comme agent de charge – pour donner de la consistance, assurer une bonne solubilité dans le corps et maitriser le goût.
Son goût sucré n’est pas très prononcé. C’est un excellent support pour amplifier des goûts artificiels. On le retrouve beaucoup dans la nourriture transformée (fruits en conserve, sauces, snacks, boissons énergétiques) [8].
La maltodextrine est reconnue sans danger par les agences sanitaires. Mais elle accroît tout de même vos apports en glucides et sucres. Et si vous en mangez beaucoup, vous augmentez fortement vos risques de diabète, de surpoids et de maladies cardiaques.
Heureusement, la maltodextrine est utilisée en très petites quantités dans les compléments alimentaires. Il faudrait avaler au moins 1000 gélules de complément alimentaire par jour pour que l’apport en maltodextrine devienne inquiétant.
5. Sorbate de potassium
Le sorbate de potassium est un agent conservateur artificiel.
Il accroît donc la durée de vie des compléments alimentaires en empêchant la prolifération de micro-organismes indésirables.
Les personnes qui y sont sensibles et celles qui en ingèrent trop peuvent avoir la nausée ou faire une indigestion. Mieux vaut l’éviter.
6. Gomme arabique ou gomme d’acacia
La gomme d’acacia est en fait de la sève d’acacia solidifiée. Elle sort elle-même de l’arbre ou alors en pratiquant une incision.
Il s’agit d’un épaississant naturel fréquemment utilisé par les laboratoires. Il sert aussi à faire des loukoums.
Le liste EurekaSanté a réalisé une liste des excipients aux effets indésirables reconnus. Je vous invite à la consulter ici.
[3] Salle B., Duhamel JF. Statut vitaminique, rôle extra-osseux et besoins quotidiens en vitamine D : rapport, conclusions et recommandations, Académie nationale de médecine, 29 mai 2012.
Malgré le mur du silence dressé par les media, on sait maintenant que le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame, dont les blessures par balles ne mettaient pas sa vie en danger, est mort après avoir été égorgé par le terroriste islamiste Radouane Lakdim avec un couteau de chasse.
Commentaire de l’imam de la mosquée de Carcassonne, approuvé par l’évêque de Narbonne : « La communauté musulmane a été poignardée ».