Connaissez-vous le "privilège blanc" ?
Cette théorie woke à la mode voudrait qu'il existe un privilège en Occident dont vous bénéficieriez en tant que blanc, et qui vous octroierait ainsi des avantages inconscients, invisibles et symboliques dans nos sociétés.
Cette théorie est-elle fondée ?
Que répondre à ceux qui la véhiculent ?
Si je vous dis qu’il faut penser à la France comme un pays européen plutôt que simplement comme la France, ou si je vous dis qu’on ne peut pas réussir à défendre l’identité Française sans défendre l’identité européenne, vous me répondrez peut-être que je suis une européiste, qu’entre la France et l’Europe il faut choisir ou encore que je suis une fausse patriote.
Et pourtant, je suis intimement convaincue que nous devons dépasser le patriotisme hexagonal pour être pleinement efficace dans la lutte acharnée pour notre identité.
Le New York Times a publié une importante d’enquête, les «Civilian Casualty Files» [les Dossiers des victimes civiles], accompagné de centaines de documents confidentiels du Pentagone, révélant que les frappes aériennes américaines en Irak et en Syrie ont tué des milliers de civils, et que l’armée camoufle systématiquement ce fait.
L’agresseur est la Russie, répètent à l’envi la presse et les politiques en Occident. Selon eux, l’ogre russe serait prêt à dévorer l’Ukraine. Cette petite musique médiatique tourne en boucle depuis de nombreuses semaines.
L’essayiste belge Michel Collon dénonce une propagande de guerre. Sputnik l’a interviewé.
Dans ses vœux annuels à la presse, Emmanuel Macron a exprimé son opinion sur certains médias: «Nous laissons des acteurs de propagande financés par des régimes autoritaires étrangers –qui ne répondent en rien à un régime de responsabilité ou d’éthique journalistique– informer et participer au débat en tant que journalistes», a-t-il dénoncé.
Une posture reprise aujourd’hui par la plupart des pays occidentaux. Analyse du chercheur François-Bernard Huyghe pour Le Désordre mondial.
Dans cet entretien, réalisé avec Guillaume Durocher, nous abordons le monde politique grec à partir de son livre : « The Ancient Ethnostate – Biopolitical thought in Classical Greece » (L’ancien Ethno-état – la pensée biopolitique dans la Grèce classique). Ce livre a la particularité de relire la tradition politique des Grecs à la lumière du darwinisme et de la philosophie évolutionniste, ce qui s’avère une voie d’analyse particulièrement féconde.
Le livre consacre de nombreux chapitres aux grandes figures intellectuelles et littéraires de la Grèce antique, mais nous avons choisi de nous attarder en particulier sur Homère, Hérodote et Platon, à savoir le poète, l’historien et le philosophe. Le livre de G. Durocher constitue à la fois une bonne introduction à la philosophie politique grecque, mais aussi, dans une perspective archéofuturiste, une inspiration pour des temps nouveaux.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’historique de la 33ème W-SS Charlemagne n’est pas figé suite aux écrits de Saint-Loup et Mabire. L’épique aventure des hommes qui en furent les soldats en fait le substrat de révélations, bien des points ne sont toujours pas éclaircis, le plus emblématique étant l’exécution des 12 SS Français à Bad Reichenhall le 8 mai 1945 par la 2ème D.B.
Dans l’ouvrage « De la Porte de la Chapelle à l’Indochine », signé Eric Le Clanche, les lecteurs sont invités à suivre l’itinéraire rempli de volonté politique, d’engagement et de souffrance, d’un jeune homme de France d’avril 1944 jusqu’à 1951 sa fin de parcours en Indochine dans le Bataillon d’Infanterie Légère d’Outre-Mer.
Eric Le Clanche au travers de recherches, de nombreux témoignages et d’un travail intense sur les organigrammes de la Division Charlemagne révélant notamment avec des biographies précises, nous invite à rejoindre en lecture, ces combattants Français antibolcheviques.
Nous l’avons interrogé pour découvrir un peu plus cet ouvrage.
Seules 2 sociétés, Vanguard et BlackRock [1], contrôlent la planète, alors que les 1 % les plus riches du monde possèdent 82 % de la richesse mondiale. Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres.
Cela signifie que des marques « concurrentes », comme Coke et Pepsi, ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds de placement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements. C’est le cas dans toutes les grandes industries.
Les habitants de l’espace balte actuel avaient quitté depuis longtemps le stade de la prédation lorsque les Européens de l’Ouest, les Scandinaves ou les Rus’ les rencontrèrent, du IXe au XIIIe siècle. Ils travaillaient la terre, commerçaient avec leurs voisins slaves et scandinaves, utilisaient le bronze et le fer, tant pour des armes que des objets d’art, enterraient ou incinéraient leurs morts et entretenaient un panthéon de dieux foisonnant. Bien qu’ils aient été dépourvus d’écriture, leur histoire, fascinante et méconnue, se laisse appréhender grâce aux récits des conquérants et aux résultats de l’archéologie. C’est à la reconstituer que s’emploie Sylvain Gouguenheim dans son nouvel ouvrage intitulé Les derniers païens, Les Baltes face aux chrétiens (XIIIe-XVIIIe siècle) paru aux éditions Passés Composés.
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