Dans son dernier ouvrage Occident Go Home, (à commander aux éditions Via Romana) Michel Geoffroy, énarque et ancien haut fonctionnaire, dresse un réquisitoire sévère contre l’Occident moderne, qu’il décrit comme le nouveau vecteur de l’américanisme et des « valeurs inversées ».
Selon lui, l’Occident n’incarne plus la chrétienté, la liberté ou le progrès, mais se retrouve aujourd’hui assimilé à une maladie civilisationnelle, perçue comme une menace par le reste du monde. Cependant, loin de se contenter de dénoncer ce déclin moral, religieux, et militaire, Michel Geoffroy voit dans la prise de conscience de cette situation une incitation à réagir. Il appelle à une renaissance civilisationnelle, portée par une nouvelle élite, capable de refuser le fatalisme pour retrouver l’âme de l’Europe.
Macron est indéboulonnable, il le sait et s’en vante, pleurniche Philippot ; peut-être qu’il sera réélu, peut-être qu’il se maintiendra au pouvoir en 2027 à la manière de Zelenski-Gambetta, pendant que son électorat crève sans se plaindre aux urgences des hôpitaux dans toute la France (ne me faites pas le coup qu’il a été élu avec 1% des voix grâce à des logiciels, OK ?).
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Au cours des deux derniers siècles, l'islam a été une identité culturelle manipulée par les Anglo-Saxons, d'abord par les Britanniques, puis par les Américains. Les États-Unis d'Amérique - au cours du 19ème siècle et jusqu'aux suites immédiates de la Première Guerre mondiale - ont eu une stratégie nationale qui a éclipsé toute politique extra-américaine dans la stratégie générale des États-Unis, lesquels ont accordé à leurs affaires intérieures une priorité bien plus grande qu'aux affaires étrangères. Cette stratégie, appelée « construire la différence », s'est traduite par la mise en place d'un gouvernement national et la stabilisation du système national d'autorité politique, ainsi que par l'expansion des activités économiques et l'augmentation de la capacité industrielle du pays.
Le capitalisme mondial est en stagnation, ce qui accroît la pression sur les acteurs politiques et militaires du capital transnational pour qu'ils trouvent de nouveaux moyens de faire du profit. William I. Robinson, professeur à l'université de Californie, a écrit sur le sujet des textes d'une grande pertinence.
En tant que témoin d'une parole divine, et auditeur privilégié d'un dieu unique et céleste, Zarathoustra est le premier prophète de l'Histoire de l'humanité.
Au cours des deux premiers millénaires avant J.-C., naquit en Perse sa doctrine, dont les textes liturgiques se trouvent dans l'Avesta. Ce culte est nommé mazdéisme, qui est la foi en Ahura-Mazda, également appelé Ormuz. Des anges (yazatas), des archanges (Amesha Spenta) et des anges gardiens (fravashis) accompagnent Ahura-Mazda. Ils sont dignes de louanges de la part des zoroastriens, mais seul Ahura-Mazda est considéré comme divinité capable et agissante d'elle-même. Toutes les autres créatures célestes sont soit ses adjuvants, ses alliés, et répondent à ses ordres, soit ses adversaires (Angra-Mainyu, l'Esprit du Mal et les démons). Or, comme l'Esprit du Mal ne peut pas créer, mais seulement corrompre ce qu'Ahura-Mazda a créé, Ahura-Mazda est donc la seule créature céleste digne d'un culte, car elle est la seule à pouvoir agir de son propre chef.
Lire la suite : Introduction au Mazdéisme et au Zoroastrisme
Introduction de : Les Indo-Européens, Paris 1981 (1).
I. – Histoire de la recherche
La recherche sur les Indo-Européens est passée par deux phases opposées. A l’enthousiasme parfois téméraire des premiers temps ont succédé le désenchantement et l’hypercritique :
Lire la suite : De l’indo-européen aux indo-européens par Jean Haudry
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