- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur choisi par Macron pour faire le sale boulot (casser par tous les moyens la juste révolte des Gilets Jaunes), a été maire de la ville de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) de 2001 à 2017. Il est épinglé, à ce titre, dans un rapport de 42 pages, par la Chambre régionales des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui pointe des « irrégularités » dans la gestion des comptes publics de Forcalquier. Est mentionné, entre autres, le « report systématique de congés non pris et des heures supplémentaires non récupérées ni monétisées » par les agents municipaux de la ville, ceci s’étant fait « d’années concernées, sans limitation dans le temps ». Au total, à la fin de l’année 1217, la ville devait à ses 85 agents « l’équivalent de 175 000 euros en congés non pris et reportés, et 92 000 euros en heures supplémentaires non récupérées ».
La Chambre régionale des comptes a relevé une série « d’erreurs et d’incohérences » dans l’attribution et l’exécution de certains marchés publics, et dans les documents budgétaires, notamment lors de travaux de voierie effectués en 2014 pour 973.600 euros, alors que l’entreprise retenue avait présenté une offre à 219.800 euros, bien en-deça de la moyenne du marché, estimée à 300.00 euros.
Déjà très endettée, la ville a vu ses finances se détériorer en 2018. Avec 6,1 millions d’euros de dettes fin 2018 Forcalquier est au-dessus de la moyenne nationale d’endettement des communes de sa taille. Castaner va-t-il devoir rendre des comptes ? On prend les paris ?
Pierre VIAL
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
La mesure sera mise en place à partir de 2024, comme en Allemagne où le sexe des citoyens n'est pas précisé sur les papiers nationaux d'identité.
Le sexe des citoyens néerlandais ne sera plus mentionné sur leur carte d'identité d'ici quelques années, une inscription jugée "inutile" par la ministre de l'Éducation, de la Culture et de la Science Ingrid van Engelshoven.
Dans une lettre au parlement vue par l'AFP samedi, la ministre, également chargée de l'Emancipation, a fait part de son intention de supprimer l'inscription du sexe sur les cartes d'identité "à partir de 2024/2025".
Une mention déjà effacée en Allemagne
La ministre Ingrid van Engelshoven souhaite "limiter dans la mesure du possible la mention inutile du sexe", qui restera cependant mentionné sur les passeports, rendu obligatoire par l'Union européenne.
"Les Pays-Bas ne seraient pas le premier État membre à posséder une carte d'identité sans mention de genre. La carte d'identité allemande ne mentionne pas de sexe", écrit dans sa lettre la ministre.
Ingrid Van Engelshoven estime que les citoyens doivent pouvoir "façonner leur propre identité et la vivre en toute liberté et sécurité".
Une mesure dans la continuité de la politique néerlandaise envers les minorités
"C'est une excellente nouvelle pour les personnes qui éprouvent jour après jour des problèmes avec cette catégorie de genre sur leur carte d'identité", ont déclaré des organisations néerlandaises de défense des droits des homosexuels et autres minorités sexuelles.
"Et c'est une bonne nouvelle pour quiconque pense que ce que cachent vos sous-vêtments ne concerne ni le gouvernement, ni les autorités", ont-ils ajouté dans un communiqué.
Les Pays-Bas ont par ailleurs fait un pas vers la reconnaissance d'un troisième sexe en 2018, lorsqu'un citoyen né intersexué avait obtenu de la justice le droit de ne pas avoir à s'inscrire comme un homme ou une femme sur son acte de naissance.
- I-Média n°302 – L’offensive des minorités raciales
- Un cambrioleur frappe et défèque sur sur sa victime octogénaire et crie "Allah Akbar"
- I-Média n°301 – USA. Émeutes raciales : ce que les médias cachent
- Marseille : Karim Zéribi au tribunal pour détournement de fonds
- I-Média n°300 – Chloroquine : ce que cache l’hystérie médiatique
- I-Média n°299 – Covid-19. Les médias surfent-ils sur les peurs ?
- I-Média n°298 – Loi Avia : face à la censure, la révolte ?
- MANIF ADAMA TRAORÉ : oui ! MANIF PATRIOTE : non ! (vidéo)
- I-Média n°297 – Zemmour agressé : indignation médiatique… sélective !
- Lyon : des juristes lancent une pétition contre les “milices d’extrême droite”
Sous-catégories
Chroniques, par Pierre Vial
Retrouvez les commentaires de Pierre au fil de l'actualité.