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Daniel
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A Ajaccio, dans la nuit de Noël (cette date symbolique n’a pas été prise au hasard), un équipage du service d’incendie et de secours de la Corse-du-Sud, constitué de trois hommes et d’une jeune femme, a été attaqué à coups de pierres, de battes de base-ball et de clubs de golf. Ils ont dû leur salut au fait d’avoir réussi à dégager leur véhicule mais deux d’entre eux ont été blessés. Le tout aux cris, poussés par les assaillants de « sales Corses de merde, cassez-vous, vous n’êtes pas chez vous ici » (ce que les media ont, évidemment, « oublié » de mentionner).
Plusieurs centaines de Corses ont répondu en venant occuper les rues du quartier en scandant « On est chez nous ». Ce qui, d’après cette voix de la trahison permanente qu’est le journal Le Monde, est « un slogan raciste »… Une qualification scandaleuse qui s’explique par la peur qui gagne le camp mondialiste : car, reconnaît Le Monde, « en réalité, c’est toute la France qui est traversée par des courants populistes ».
Ces courants sont l’expression d’une prise de conscience identitaire qui est un réflexe de survie face au Système à tuer les peuples. Il est lamentable qu’un tel phénomène soit dénoncé par les nouveaux notables que sont Talamoni et Simeoni, qui pètent de trouille à l’idée d’être dénoncés comme des identitaires par les agents du politiquement correct et, quitte à trahir leur peuple, s’alignent sur l’idéologie du droit du sol véhiculée par la Taubira.
Pourtant les faits sont là : une grande partie de la population du quartier d’Ajaccio concerné est d’origine immigrée. Un quartier où les conducteurs des bus de la ville évitent de passer car ils ont été souvent pris pour cibles par des jets de pierre, où des déprédations visent souvent les écoles, où une équipe du SAMU a été agressée, où des hommes refusent de serrer la main des assistantes sociales. Talamoni et Simeoni refusent de voir ces réalités. Gageons que, du coup, nombre de Corses qui leur ont apporté leur voix vont se poser des questions et chercher, pour les guider, des hommes plus fiables.
Pierre VIAL
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- Catégorie : Corse
Depuis la victoire des nationalistes corses au soir du second tour des élections régionales, les « pas d’amalgamistes » en prennent pour leur grade. La République jacobine prend la claque identitaire en pleine figure. C’est bien le vote communautaire d’un peuple insoumis qui renvoie le « vivre ensemble républicain » là d’où il n’aurait jamais dû sortir, c’est-à-dire dans les poubelles de l’histoire. En effet la Corse ce n’est pas le continent, Ajaccio ce n’est pas Calais. En quelques heures le peuple corse a réussi à faire ce que les continentaux n’osent plus faire, englués qu’ils sont dans les lois antiracistes, lois en réalité anti-gauloises, anti-européennes. La nuit de Noël deux pompiers et un policier ont été blessés à Ajaccio après être tombés dans une embuscade dans une cité.
Les Corses ont très bien reçu le message du président du SDIS de Corse du Sud, Charles Voglimacci, qui a déclaré dans un communiqué à propos des personnes qui ont agressé les pompiers et policiers : « Ici c’est Ajaccio et nous ne laisserons personne dicter ses propres règles, imposer la peur et s’accaparer un quartier de notre ville. Si cela les indispose, ils sont libres de partir. »
Vous connaissez la suite : plus de six cents personnes se sont réunies le lendemain devant la préfecture pour manifester leur colère. Entre 250 et 300 manifestants sont descendus ensuite dans le quartier en question en scandant « Arabi Fora » (« Arabes Dehors ») et « On est chez nous ». Une mosquée a été attaquée ainsi que la terrasse d’un kebab.
Ce qui différencie le peuple corse de ses cousins européens du continent, c’est cette volonté de conserver intacte la souche communautaire, ainsi qu’une volonté farouche de préserver sa terre de la moisissure qui se répand des zones de non droit jusqu’à la porte de nos foyers. La rue appartient à ceux qui y descendent, les Ajacciens l’ont bien compris. En ce moment même, une poignée d’hommes et de femmes bravent l’interdit préfectoral qui prohibe toute manifestation aux alentours du domicile supposé des malfaiteurs. Nous ne devons pas nous contenter d’être admiratifs devant une telle résistance face à la racaille et à l’Etat, nous devons les imiter. Quant à Gilles Simeoni, nouveau président du Conseil exécutif de la Collectivité Territoriale de Corse, nous ne pouvons que regretter ses prises de position, soucieux qu’il est sans doute de plaire aux gardiens du politiquement correct. Une prise de position en décalage avec son électorat nationaliste qui n’a que faire du fameux « pas d’amalgame ».
Llorenç Perrié Albanell
Perpignan le 27/12/15
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En Corse comme sur le continent...les élités contre les peuples ? Soutien au peuple Corse...
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- Catégorie : Corse
Je salue la belle victoire identitaire qu’est l’élection, en Corse, des nationalistes Gilles Simeoni, Président de l’Exécutif, et Jean-Guy Talamoni, Président de l’Assemblée.
Une victoire devant laquelle les politiciens jacobins, de droite et de gauche, restent cois. Parce qu’ils n’ont rien à dire ? Plutôt, en fait, parce qu’ils savent que c’est leur défaite, à tous. Et parce qu’ils craignent la contagion : les Corses ont osé, leur ténacité a fini par payer et cela pourrait donner de dangereuses idées à ceux qui, sur d’autres terres, sont eux aussi viscéralement attachés à leur identité. En Catalogne du Nord, au Pays Basque, en Alsace, en Bretagne, en Flandre… ailleurs encore, car l’étincelle identitaire est capable d’allumer bien des brasiers.
Pierre VIAL