Le livre d’Anne Kling : « La France LICRAtisée » aux éditions Mithra pouvait difficilement échapper à notre esprit de synthèse. Cet ouvrage essentiel, chers amis lecteurs, vous devez impérativement le lire. Cette synthèse a été réalisée dans ce but et non pas seulement pour vous faire gagner du temps. Celles et ceux qui pensaient déjà tout savoir sur le sujet risquent bien d’être surpris(es)…

L’objectif de la Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme est tout simplement monstrueux : Faire passer le peuple le plus accueillant, le plus généreux, le plus sollicité financièrement et le moins raciste et antisémite de la planète comme étant de plus en plus raciste et de plus en plus antisémite afin de le culpabiliser toujours davantage de manière à lui imposer, à l’aide d’un arsenal judiciaire sans équivalent dans le monde, une immigration massive tout en lui ôtant les moyens de s’y opposer. Et nous pouvons dire qu’il est déjà largement atteint puisque nous sommes en présence d’une véritable invasion. Il s’agit, ni plus ni moins, que d’une substitution de population qui est en cours de réalisation et qui sera déjà très avancée à partir des années 2050 dans une France totalement islamisée, qu’on le veuille ou non !  Ainsi, cette organisation juive, dont le pouvoir de nuisance est considérable, sera parvenue en l’espace de 80 ans et malgré la Seconde guerre mondiale, à transformer un des plus vieux pays du monde en territoire afro-maghrébin et en terre d’Islam. Une honte absolue, intolérable et pourtant acceptée sans discussion par l’immense majorité des français de souche dont une grande partie joue le jeu du système à broyer les peuples. Mais les allogènes afro-maghrébins sauront certainement, le moment venu, remettre les pendules à l’heure. Quel sera le sort de la Communauté juive française, la plus importante d’Europe, lorsque l’œuvre de la LICRA sera complètement achevée ?  On voit bien là la folie furieuse de ces fanatiques de l’idéologie antiraciste et de leurs complices. Nul doute que leur stratégie insensée et totalement irresponsable vis-à-vis des leurs et de leur pays d’accueil se retournera contre l’ensemble des juifs de France et de Navarre.


En effet, si les organisations de la communauté juive française sont très engagées en faveur de l’Etat d’Israël, les musulmans, en général, et les maghrébins, en particulier, sont très favorables à la cause palestinienne et, bien entendu, hostiles au même Israël. Ne seront-ils pas tentés, s’ils deviennent majoritaires, de régler, sur place, les comptes d’une très longue frustration ?  Et, bien sûr, ce seront ces salauds de racistes et d’antisémites français qui seront encore et toujours incriminés alors que ce sont précisément  eux qui sont essentiellement victimes du racisme anti-blancs qui se propage de plus en plus vite sur le territoire national. Mais ce racisme-là n’existe pas, bien évidemment, aux yeux des nombreuses organisations antiracistes présentes sur notre territoire, ni même d’ailleurs à ceux  de la justice française.
 
Il ne s’agit pas d’autre chose que d’une pathologie collective extrême et inguérissable qui a déjà provoqué énormément de dégâts sur l’ensemble de la planète. Et ce n’est pas fini !  C’est la victimisation définitive de la population juive à travers le monde en culpabilisant le monde entier qui, de ce fait, doit être en repentance continuelle. Le problème, pour eux, c’est qu’ils sont infiniment moins nombreux que les musulmans. Et cela ne va pas s’arranger avec le temps…
Il est probable qu’il se produira d’ici là une guerre civile ethnico-religieuse dont la Communauté juive subira les pires conséquences et dont la LICRA portera, en tout premier lieu, l’immense responsabilité. Nous n’excluons pas non plus une Troisième guerre mondiale. Ce ne sont pas les occasions qui vont manquer dans les décennies à venir (énergie, eau, affrontement des fondamentalismes, etc.) et les conflits incessants entre les juifs et les musulmans (au Moyen Orient) risquent bien d’y être pour quelque chose.
C’est l’Histoire sans fin, éternellement recommencée jusqu’à la fin des temps…

La question qui nous vient à l’esprit : pourquoi les juifs ordinaires, le peuple juif, ne se révoltent-ils pas contre ces fous furieux qui s’emploient avec un tel acharnement, depuis des siècles, à les rendre si  vulnérables jusqu’à les exposer à des horreurs dont nul ne souhaite revoir les images.

Pourquoi  la LICRA a-t-elle agi ainsi ?  D’où lui vient un tel pouvoir ? La France est-elle particulièrement visée ?
C’est ce que vous allez découvrir ou redécouvrir en prenant connaissance des détails  de la « licratisation des esprits ».
Car c’est bien de cela qu’il s’agit: la LICRA et ses satellites (CRIF, SOS RACISME et autres ligues des droits de l’homme) sont parvenus, depuis des décennies, à soumettre sans relâche les Français à un lavage de cerveau « citoyen », sous couvert d’antiracisme intensif et permanent, de lutte contre l’antisémitisme, de xénophobie et autres délires hallucinogènes. Créant ainsi une atmosphère exécrable dans notre pays, encourageant  la délation et les dénonciations, multipliant à satiété les procédures, les invectives et les menaces. On ne peut plus faire  la moindre remarque au sujet de l’immigration qui plombe le pays et le plonge dans une situation de plus en plus dégradée et, pour tout dire, inextricable, sans être immédiatement désigné comme raciste et éventuellement poursuivi en justice. Les conflits de générations sont exacerbés au sein des familles de plus en plus divisées. La société est minée par l’ambiance de suspicion qui règne en permanence dans tous les secteurs d’activité. Partout, le risque d’être confronté à des « problèmes » est bien réel. Les gens n’osent plus trop parler et se cantonnent aux dérèglements climatiques et à la météo du jour. Laissant tranquillement les lobbies faire leur sale besogne.
Tout cela avec l’aide zélée du pouvoir, de la classe politique aux ordres, de la justice, des médias, du « show-biz », etc.
Voilà le bilan de la LICRA et consorts qui peuvent être totalement satisfaits de leur action nauséabonde et ignominieuse.
Mais les français s’en rendent-ils vraiment compte ?  Il semblerait qu’ils méconnaissent ou, en tout cas, sous-estiment le pouvoir démesuré et invraisemblable de ces organisations « internationales » juives capables de détruire un pays et de transformer sa population avec, en prime, la complicité des Institutions, de la classe politique toutes tendances confondues et de la bourgeoisie. Et même de l’Eglise catholique. Aveuglées par leur folie, elles ne doutent pas un instant de leur puissance et de leur invulnérabilité, pensant dominer le monde entier grâce à leur arme absolue : le Mondialisme.
Pour le moment. Car l’Islam est maintenant bien installé en France et en Europe par la volonté acharnée de ces pouvoirs occultes et attend son heure. Il saura exprimer sa  reconnaissance le moment venu, n’en doutons pas !  A sa manière…
A vomir sans modération !!!


UN PEU D’HISTOIRE…
En ce tout début du XXe siècle, la Russie tsariste témoigne d’un certain dynamisme économique mais mène sur le plan des libertés  publiques une politique résolument rétrograde qui fera son malheur. Faute d’avoir entrouvert à temps la porte à un début de démocratie, elle encouragera l’émergence des mouvements révolutionnaires et terroristes qui lui mèneront une guerre implacable et finiront par l’abattre. La Première Guerre mondiale se chargeant d’accélérer le naufrage. Absolutiste, le régime tsariste est aussi, dans une large mesure, antisémite. Il nourrit, comme d’ailleurs une grande partie de la population, méfiance et hostilité envers ce groupe particulier qui ne veut pas se fondre dans le moule national. Cela se traduit essentiellement par des mesures discriminatoires, voir des pogroms qui surviennent régulièrement, entraînant dès la fin du XIXe siècle une forte émigration vers les Etats-Unis, l’Europe occidentale ou la Palestine. Malgré ces départs, les juifs restent nombreux dans l’empire tsariste : de l’ordre de 5 à 6 millions de personnes.
Cependant, bien que ne représentant qu’environ 4 % de la population russe totale, ils vont jouer un rôle déterminant dans les mouvements terroristes et révolutionnaires qui se développent dès la fin du XIXe siècle pour déboucher finalement sur la prise de pouvoir des bolcheviques en 1917.

Le 26 octobre 1927, un procès retentissant trouve son épilogue à Paris. Accusé du meurtre du nationaliste ukrainien Simon Petlura, Samuel Schwartzbard est triomphalement acquitté. Il est vrai que le motif officiel du crime – venger les victimes des pogroms en Ukraine, imputés à Petlura – a suscité l’émotion des milieux juifs mondiaux et entraîné une forte mobilisation au bénéfice de l’accusé. En France, sa défense médiatique a été prise en main par le journaliste Bernard Lecache qui crée dans ce but la « Ligue internationale contre les pogroms ». En 1928, il transforme l’appellation en « Ligne internationale contre l’antisémitisme ». Son fondateur restera à sa tête jusqu’à son décès, en 1968. La LICA, qui deviendra en 1932 la « Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme » tout en gardant son sigle LICA, est déclarée dès le départ comme étant une organisation apolitique et non confessionnelle. Ce n’est qu’en 1979, que tout en conservant son précédent intitulé, elle modifiera cette fois son sigle et deviendra la LICRA. Elle édite un journal depuis 1932, « Le Droit de Vivre » (DDV) qui n’a jamais cessé de paraître depuis lors en dehors de la période 1940-45.

 

La LICRA est née en 1927 dans un contexte historique bien précis. Elle est issue en droite ligne du communisme théorisé par Karl Marx et Friedrich Engels et appliquée à la Russie par les bolcheviques à partir d’octobre 1917. Ce régime politique nouveau, né de la Révolution d’octobre, sera d’une rare perversité. A la fois antérieur et postérieur au nazisme qui va s’en inspirer à bien des égards, le régime communiste se soldera par un désastre total, à la fois humain, écologique et économique. Malgré ses crimes immenses et ses échecs avérés, il continue à peser aujourd’hui encore sur une bonne partie du monde, y compris, idéologiquement, sur notre pays. Jamais le régime communiste, totalitaire et sanglant, n’a été désavoué en tant que tel par la LICRA, pourtant « championne des droits de l’homme !"



OBJECTIFS & STRATEGIES


Cette apparente neutralité lui a permis d’étendre son réseau dans toutes les directions et d’afficher une vitrine universaliste et morale derrière laquelle elle a pu exercer en réalité une influence politique considérable et parfaitement ciblée, quoique méconnue ou sous-estimée du public. La LICRA est ainsi parvenue au fil des années à s’imposer comme un partenaire obligé et incontournable de toute action politique dans un certain nombre de secteurs-clés de la vie de notre pays. Elle a notamment à son actif :
1. La mise en place d’un arsenal législatif antiraciste (à sens unique) particulièrement scandaleux et totalement déséquilibré tout en étant extrêmement dissuasif.
2. Un soutien permanent  très efficace et incitatif à l’immigration de peuplement arabo-musulmane.
3. L’exclusion de tous les partis ou associations défenseurs de l’identité nationale ainsi que la diabolisation systématique de tous les citoyens qui tentent de résister à l’invasion immigrationiste ou tout simplement de défendre leurs biens et leur intégrité physique face à la violence de plus en plus fréquente et étendue de la population afro-maghrébine.

Il s’agit là de domaines éminemment politiques où ses continuelles pressions, incitations et véto ont fortement contribué à orienter les choix des gouvernements et des parlementaires depuis 1974, en particulier. Choix qui pèsent très lourdement sur la vie des français d’origine. Ces derniers ont de plus en plus nettement conscience d’être arrivés à une impasse sans forcément connaître les dessous des cartes. Un blocage qui ne permet même plus d’entrevoir des solutions à une situation générale très dégradée qui a échappé au personnel politique (qui en est pourtant directement responsable), lequel se contente, en réalité, de gérer au jour le jour. Une partie non négligeable de la population se trouve privée de représentation nationale et de toute participation à la vie publique, ce qui est l’exact contraire de la démocratie.
Par ailleurs, il n’existe plus aucune liberté d’expression ou de possibilité de débat sur les sujets sensibles et engageant l’avenir, à savoir ceux évoqués plus haut et qui sont totalement tabous depuis 1981. Pendant ce temps, s’installe dans le pays un communautarisme qui n’ose pas dire son nom, mais que chacun peut constater et qui est très lourd de menaces pour l’avenir.
Certes, la LICRA n’est pas seule responsable de cette situation effroyable. D’autres associations l’ont accompagnée dans le combat dit antiraciste, qui est en fait le combat anti-identitaire. Et en fin de compte, c’est bien le pouvoir politique qui s’est incliné en donnant  entière satisfaction à l’ensemble de ces organisations anti-nationales et pro-immigrés. Parmi celles-ci, la LICRA a joué un rôle d’impulsion majeur et déterminant.
Le présent ouvrage se propose de mettre en évidence cette influence à partir de faits précis, en retraçant tout l’historique d’un pouvoir qui plonge ses racines au confluent de deux événements majeurs du XXe siècle : la révolution bolchévique et la Seconde Guerre mondiale. Deux événements complexes et puissamment liés l’un à l’autre. Deux événements dont nous subissons encore fortement les retombées.
L’action plus contemporaine de la LICRA a été examinée sur la base de tous les numéros du « Droit de Vivre » ayant paru depuis 1967. Pourquoi 1967 ?  C’est qu’à bien des égards, cette date inaugure une nouvelle période de notre histoire. Elle est celle de la guerre des Six Jours, qui voit l’Etat d’Israël triompher de ses voisins arabes. Cette victoire va entraîner de fortes évolutions au sein de la communauté juive mondiale. Et, par conséquent aussi chez nous, la France abritant la plus forte communauté juive d’Europe. A cette date, notre pays est également à la veille de profondes mutations. Mai 68 n’est pas loin. La gauche ne réussira pas cette révolution-là, mais elle a déjà investi le pouvoir culturel, via les médias, et posé les jalons qui la conduiront à la victoire de 1981. Elle sera largement aidée et accompagnée dans cette longue marche par la LICRA. Enfin, l’immigration massive qui a profondément transformer le visage de la France et la vie quotidienne des français, va réellement démarrer et s’intensifier à partir de ces années-là pour atteindre maintenant un point de non-retour…
 
A lire et à faire lire absolument, le livre d'Anne Kling a aussi été publié en 2006 aux éditions Déterna (diffusion www.francephi.com) avec une préface d'Alain Soral 
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