Catégorie : COLLABOS ET RENEGATS
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AuteurBlanche. Publié Sur Blanche Europe

Publié le30 Sep, 2017

Les gauchistes sont anti-blancs : c’est un constat que nous pouvons faire depuis longtemps, avec des discours n’ayant de cesse de diaboliser la race blanche, l’accusant de toutes sortes de « crimes » (qu’ils soient complètement imaginaires ou qu’il s’agisse de faits réels jugés selon un prisme moral tordu, oubliant les mille actes semblables des non-blancs et criminalisant la lutte ethnique).

Eh bien, de plus en plus de non-blancs l’amènent à sa conclusion logique, traitant les blancs antifas combattant à leurs côtés comme des moins-que-rien.

Le texte qui suit est la transcription du dialogue enregistrée par une vidéo lors d’une des nombreuses manifestations anti-fas aux USA .

 

Transcription :

[Au milieu d’une masse antifa, la femme asiatique s’approche du blanc et commence à lui parler. La personne tenant la caméra approche.]

Asiatique : « … Mais c’est comme le sommet de la performativité [sic] blanche. Si tu es vraiment un allié, genre tu donnes juste des coups de poing, tu risques d’aller en prison pour le fait qu’ils ont la tribune. Ne leur donne même pas la satisfaction d’avoir… Frappe la juste… Ouais. »

Antifa blanc : « Es-tu sérieusement… »

Asiatique : « Je te dis sérieusement de faire le travail, ouais. Frappe un nazi, cesse d’être performatif [sic]. »

Antifa blanc : « Mec1, tu n’as pas idée. Je fournis du travail tout le temps. »

  1. 1. Le terme anglais utilisé, « dude », désigne aussi normalement un homme, mais est ici utilisé en s’adressant à une femme.

Asiatique : « Frappe un nazi, cesse de crier à ce propos. Consacre-toi à ces choses, si tu es un allié blanc. »

Antifa blanc : « J’essaye de faire qu’il soit dégagé. J’en suis un. Je me bats depuis quelque chose comme trois mois. Je me suis mis en danger pour nous tout le temps. Dégage. »

[Le blanc commence à s’éloigner, quelques mots échangés alors manquent de clarté.]

Antifa blanc : « Quelqu’un avait jeté un foutu mégaphone sur ma tête. »

Asiatique : « Continue… »

[Après une petite pause, la femme asiatique reprend alors que le blanc est plus loin, agitant aussi le bras au-dessus de sa tête.]

Asiatique : « Tu n’es pas un allié ! Frappe un nazi, cesse de [pas clair]. Les trucs performatifs sont faits. Les trucs performatifs sont faits. Frappe des nazis, [pas clair]. Frappe-les ! Défonce-les si tu es un allié !

Antifa blanc : « Je le ferais. »

Asiatique : « Fais-le. Consacre-toi à ça. »

Autre femme antifa : « Fais-le alors ! »

Autre antifa : « Tu es pathétique. »

Antifa blanc : « J’étais là la dernière fois. J’ai combattu des gens toute la journée. »

Autre antifa : « Tu devrais écrire tes références sur un tableau géant pour nous. »

Asiatique : « Tu es encore blanc ! Tu es encore responsable ! C’est de ta faute ! Tu es intrinsèquement raciste ! C’est dans ton sang ! C’est dans ton ADN !

L’antifa a envie d’être un bon « allié blanc », mais rien de ce qu’il peut faire ne satisfera jamais les marrons « oppressés » pour qui il combat, aux yeux de qui il restera toujours un méchant blanc, et qui le considèrent avec mépris.

On peut aussi noter l’hypocrisie de ces non-blancs qui se disent anti-racistes mais n’hésitent pas à dénoncer les Blancs comme mauvais par leur ADN. Leur seul but est d’exploiter ces théories pour promouvoir leurs propres intérêts.

Contrairement à la réaction cocuservatrice face à cette hypocrisie, il ne faut pas se considérer non-raciste pour se croire alors plus malin. C’est comme amener un couteau dans une bataille de tanks ; dans la lutte des races renoncer à la solidarité ethnique est une erreur fatale.

 

Souhaitons que les antifas non-blancs continuent d’être particulièrement odieux envers leurs crétins « alliés » blancs. Ainsi, ils auront beaucoup plus de mal à recruter, et les jeunes blancs ayant deux sous de jugeote viendront plutôt dans notre camp qui est le seul à défendre leur intérêt.

 

 

 

 

 

 

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